Le metal pour les nuls : les différents genres et les dérivés du metal

concert metal cornes du diable
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Dans un premier article, je vous avais parlé de l’histoire du metal, de ses caractéristiques musicales générales et de la culture qui est associée à ce style. Maintenant que vous vous êtes davantage familiarisé avec le metal et les metalleux, il est grand temps de rentrer dans le vif du sujet : les différents genres de cette musique. Vous avez peut-être déjà entendu des metalleux discuter de leurs groupes préférés et des genres qu’ils affectionnent le plus. Mais quelle est la différence entre du black metal et du thrash metal ? Les termes « metal symphonique » et « folk metal » désignent-ils la même chose ? Si vous êtes un peu perdu parmi tout ce jargon musical propre au metal, je vous invite à m’accompagner dans un petit voyage au pays des guitares saturées et des batteries frénétiques. Accrochez-vous, ça va headbanger !

Avant toute chose, il faut savoir que le metal est un style musical très riche et diversifié, il m’est donc impossible de vous exposer ici tous les genres, sous-genres et dérivés existants. Cependant, je vais vous présenter les principaux courants qui existent. Chaque partie sera illustrée par cinq chansons qui me paraissent représentatives du genre proposé.

Le heavy metal

Ce genre constitue le socle du metal, car c’est sous cette forme que le style est né dans les années 70. Le heavy metal est le genre qui se rapproche le plus du hard rock, puisqu’ils sont apparus à peu près simultanément (pour plus de détails, je vous renvoie vers la première partie du « Metal pour les nuls »). Le style de chant est assez semblable avec uniquement une voix claire, c’est-à-dire un chant « normal » en opposition avec le chant guttural (appelé aussi growl) ou le chant « black ». Le tempo est souvent un peu plus rapide que dans le hard rock et les riffs sont plus puissants.

En bref, c’est du hard rock à la sauce metalleuse ! C’est donc, selon moi, le genre le plus facile d’accès pour un néophyte. Si vous êtes déjà amateur de rock et de hard rock, il ne vous reste donc plus qu’à sauter le pas ! Dans le heavy metal, les groupes les plus populaires sont assurément ceux de la New Wave of British Heavy Metal, apparue à la fin des années 70, tels que Judas Priest, Iron Maiden ou encore Motörhead, mais n’oublions pas les pionniers du genre, Black Sabbath.

Judas Priest – Dissident Aggressor

Black Sabbath – Paranoid
Iron Maiden – Killers
Manowar – Die For Metal
Motörhead – Ace Of Spades

Le power metal

Le power metal est un heavy metal plus musclé qui repose majoritairement sur des power chords à la guitare. Il découle d’un autre genre, le speed metal, apparu au début des années 80. Dans ces deux genres, le tempo est très rapide et les batteurs ont souvent recours à la double grosse caisse.

Généralement, les textes s’inspirent d’univers issus de la littérature heroic fantasy et fantastique. Il est donc fréquemment question de chevaliers, de magie, de dragons et de quêtes épiques.

Si jamais vous avez l’occasion d’assister à un concert de power metal, foncez ! Les groupes font en général preuve d’une énergie débordante et communicative au public. Dans le genre, on peut citer Blind Guardian, Helloween, HammerFall, Sabaton, Sonata Arctica ou encore Angra.

HammerFall – Hearts On Fire

Helloween – Metal Invaders
Blind Guardian – Valhalla
Sabaton – Carolus Rex
Sonata Arctica – Don’t Say A Word

Le metal symphonique

Qualifié par certains de « metal pour les filles », ce type de metal est appelé « symphonique », du fait qu’il se caractérise par l’utilisation de claviers et de samplers qui reproduisent beaucoup de sons. On y retrouve notamment des cordes, qui confèrent aux chansons une certaine « grandiloquence », comme dans la musique symphonique. Parfois, les groupes les plus connus enregistrent leurs albums avec un orchestre. De plus, le chant est très souvent assuré par une chanteuse ayant une très bonne technique vocale ; elle aura parfois même recours au chant lyrique. Le metal symphonique s’est surtout développé à partir de la fin des années 90.

Les chansons s’inspirent souvent de la mythologie, des univers fantasy et médiévaux. Cependant, ce genre est en réalité très hétérogène, le terme « symphonique » est souvent utilisé comme une adjonction stylistique. Ainsi, il existe du black metal symphonique, du death metal symphonique, du power metal symphonique, etc. Ce qu’on appelle donc communément « metal symphonique » désigne plutôt des groupes aux influences heavy et power metal, comme Nightwish, Rhapsody of Fire, Epica et Within Temptation.

Nightwish – Wishmaster

Rhapsody of Fire – Triumph Or Agony
Epica – The Essence Of The Silence
Within Temptation – Ice Queen
Xandria – Nightfall

Le metal industriel

Dans ce genre né au début des années 90, les groupes ont recours à des outils plutôt propres à la musique électronique : synthétiseur, sampler et séquenceur. La qualification d’ « industriel » vient du fait que ce genre s’inspire largement de la musique industrielle, un style de musique électronique assez agressif. Le chanteur utilise plutôt un chant clair, mais la voix est souvent distordue.

De par l’aspect agressif des thèmes abordés, les groupes de metal industriel ont souvent été l’objet de controverses, notamment aux États-Unis. Les médias ont, par exemple, pointé du doigt Marilyn Manson suite à la fusillade de Colombine, car les deux protagonistes étaient fans de ce groupe. Rammstein n’a pas été épargné de par la nationalité allemande des membres et du fait que l’immense majorité de leurs chansons soit en allemand. Certaines associations et médias américains y voient une sympathie nazie, chose démentie à plusieurs reprises par le groupe…

Les fondateurs du genre sont Ministry, Godflesh, Laibach et KMFDM, mais les groupes et artistes les plus connus sont assurément Rammstein, Rob Zombie et Marilyn Manson.

Rammstein – Du hast

Ministry – Just One Fix
Rob Zombie – Dragula
Marilyn Manson – This Is The New Shit
KMFDM – A Drug Against War

Le folk metal

Les thèmes abordés dans ce genre sont le folklore, les mythologies, en particulier celtiques et nordiques, le paganisme et la communion avec la nature. Les groupes de folk metal utilisent également des instruments folkloriques, notamment le violon et la cornemuse. C’est un genre très festif et qui célèbre souvent l’amitié, la fête et l’alcool. La technique vocale est un mélange de chant clair et de growl, voire de chant « black » (cf. le paragraphe sur le black metal) comme chez Equilibrium. Le groupe pionnier du genre est Skyclad qui a sorti des albums aux sonorités folk dans les années 90, cependant le genre a surtout pris son essor au début du nouveau millénaire. On peut citer comme groupes Korpiklaani, Eluveitie, Mägo de Oz et Ensiferum.

Le folk metal est également populaire dans les pays du Maghreb et du Proche-Orient, où des instruments traditionnels et des sonorités propres à la musique orientale sont alors utilisés dans un dérivé appelé oriental metal. Dans ce dernier, les groupes les plus connus sont Orphaned Land et Myrath.

Korpiklaani – Vodka

Eluveitie – Inis Mona
Skyclad – Penny Dreadful
Equilibrium – Blut im Auge
Orphaned Land – Ocean Land (The Revelation)

Le thrash metal

Premier genre qualifié de « metal extrême », le thrash metal se caractérise par un tempo très rapide et un chant atypique : les paroles ne sont pas réellement chantées mais plutôt criées, comme si les mots étaient lâchés avec énergie. Les sujets abordés sont souvent en lien avec la société et la politique, avec des paroles assez contestataires.

Chez certains groupes, les compositions sont complexes, avec des changements de mesure et une rythmique travaillée. La technique du shred à la guitare y est très présente, les solos de guitare ayant beaucoup d’importance. La batterie donne l’impression de jouer deux fois plus vite que le reste, ce qui participe à l’effet très rapide du thrash.

Ce genre a été popularisé dans les années 80 par ce qu’on appelle le « Big Four », à savoir les quatre géants américains du thrash : Metallica, Megadeth, Slayer et Anthrax. Néanmoins, il existe aussi d’autres groupes connus, comme par exemple Machine Head, Kreator, Death Angel ou Sepultura.

Megadeth – Peace Sells

Metallica – Seek And Destroy
Slayer – Raining Blood
Sepultura – Refuse Resist
Kreator – Phantom Antichrist

Le doom metal

Le doom metal est le deuxième genre de metal extrême et il représente un peu une exception en matière de tempo : ce dernier s’avère relativement lent, ce qui est la principale caractéristique du genre. Cette lenteur confère au doom des mélodies qui s’apparentent aux marches funèbres. D’ailleurs les thèmes abordés dans les textes sont souvent très tristes et macabres. Les guitares sont accordées plus graves avec un son très saturé. Dans le doom, le mode mineur est donc de rigueur et l’emploi du triton très répandu, ce genre s’inspirant très largement des chansons de Black Sabbath telles que « Black Sabbath » ou « Into The Void ». La qualité sonore est souvent médiocre, renforçant ainsi l’effet de lourdeur et de puissance.

Le doom metal s’est développé dans les années 80 et les groupes majeurs du style sont Candlemass, Saint Vitus et Trouble.

Candlemass – Solitude

Saint Vitus – Let Them Fall
Trouble – Psalm 9
Cathedral – Cosmic Funeral
Anathema – Sweet Tears

Le death metal

Je m’attaque désormais au troisième genre caractérisé de « metal extrême » : le death metal. C’est ce genre qui est associé, dans l’esprit de nombreuses personnes, au metal. En effet, sa principale caractéristique est le recours au chant guttural (grunt ou death growl en anglais) qu’on appelle souvent « chant death », car il est omniprésent dans ce genre.

Le tempo est très rapide, marqué par des tremolo picking à la guitare (note répétée très rapidement) et des blast beats à la batterie (technique reposant sur l’utilisation simultanée de la double pédale, de la caisse claire et de la cymbale, permettant ainsi de superposer des doubles croches à un tempo très élevé).

Ici, le mode mineur domine très largement tout comme l’atonalité (absence de hiérarchie tonale, ce qui donne une musique très dissonante). Les compositions sont souvent très complexes, avec de multiples changements de mesure et de tempo, et ne suivent pas le modèle traditionnel du cycle couplet/refrain.

Les paroles sont souvent morbides, violentes et choquantes. Ce genre effraye les oreilles un peu trop sensibles et rebute fréquemment les gens à écouter du metal, il faut donc le proscrire si vous n’êtes pas habitué au style.

Les groupes pionniers du death metal, né au début des années 90, sont Death (qui a donné son nom au genre), Morbid Angel et Obituary. Par la suite, certains groupes ont un style dans la même lignée que les précurseurs, comme par exemple Entombed ou Unleashed. Cependant, le genre s’est aussi décliné en plusieurs dérivés assez distincts et plus ou moins brutaux :
– le death metal mélodique, qui conserve des harmonies et des mélodies plus classiques (exemples : Children Of Botom, Arch Enemy, In Flames, Amon Amarth),
– le death metal technique, qui allie l’aspect mélodique et la brutalité du death metal avec une grande technicité (exemples : Death, Atheist et le groupe français Gojira)
– le brutal death metal, qui, comme son nom l’indique, est la forme la plus extrême du death metal (exemples : Deicide, Cannibal Corpse, Suffocation).

Death – Symbolic

Unleashed – Black Horizon
Arch Enemy – War Eternal
Gojira – L’Enfant Sauvage
Cannibal Corpse – Hammer Smashed Face

Le black metal

Il s’agit du quatrième genre de metal extrême. Dans le black metal, le chant est particulièrement atypique au point qu’il est appelé « chant black ». Il s’agit d’un chant aigu, éraillé et hurlé, contribuant en grande partie à l’impression malsaine et sinistre qui se dégage des chansons. Il peut être utilisé seul ou avec d’autres techniques (chant clair, growl, etc).

Le tempo est extrêmement rapide et, là encore, les techniques de tremolo picking et de blast beats sont impératives. Les guitares ont volontairement un son très saturé et distordu et la qualité sonore des morceaux est généralement mauvaise, ce qui donne au genre un son sale et très compressé. De même que dans le death metal, les morceaux ont une structure anormale.

La symbolique satanique y est très présente, bien plus que dans les autres genres. En effet, la plupart des groupes se revendiquent anti-chrétiens et n’hésitent donc pas à arborer des pentacles, des croix inversées et d’autres références au Diable sur scène et sur les pochettes des albums, sans pour autant être véritablement satanistes. Ce genre a souvent mauvaise réputation, car plusieurs artistes de la scène black metal ont été impliqués dans divers crimes, notamment en Norvège où le genre s’est développé dans les années 90. Plusieurs églises en bois norvégiennes ont ainsi été brûlées et l’histoire des groupes pionniers a parfois été jalonnée par des meurtres et des suicides.

Les chansons traitent aussi du paganisme, de la dépression, des troubles psychiques, de la mort ou encore de l’occultisme. Les musiciens arborent souvent des peintures corporelles lors des concerts et adoptent un surnom. Par exemple, Burzum (alias Varg Vikernes), l’unique membre du projet du même nom, a choisi ce pseudonyme en référence au Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien, où, dans le « noir parler » de Sauron, « burzum » signifie « ténèbres ».

Pour toutes ces raisons, le black metal reste donc obscur et assez inabordable pour les néophytes. Mayhem, Immortal, Burzum, Darkthrone, Emperor et Dimmu Borgir sont des exemples de groupes pionniers du black metal. Petite remarque : les deux derniers groupes cités sont en réalité des représentants du black metal symphonique, un sous-genre que j’ai cité précédemment.

Immortal – Call Of The Wintermoon

Mayhem – Freezing Moon
Burzum – Dunkelheit
Emperor – Inno A Satana
Dimmu Borgir – Blessings Upon The Throne Of Tyranny

Le metal progressif

Tout comme le metal symphonique, le metal progressif n’est pas un genre bien défini, mais plutôt un qualificatif qu’on peut associer à d’autres genres fondamentaux du metal. En effet, les groupes progressifs ont souvent de multiples influences et il est difficile de classer leur musique dans un genre bien précis. L’aspect « progressif » des compositions a pour origine le rock progressif des années 70. Le metal progressif est, quant à lui, apparu dans la décennie suivante, mais c’est surtout dans les années 90 que le genre s’est développé et a trouvé un certain succès commercial.

Le metal progressif se caractérise par des compositions extrêmement complexes, avec des changements de mesure fréquents et l’utilisation récurrente de mesures peu courantes ainsi que de la polyrythmie (superposition de rythmes de métriques différentes, par exemple binaires et ternaires). Les chansons adoptent souvent une structure à parties et sous-parties, et non couplet/refrain, ce qui les rend souvent longues (en général entre 7 et 20 minutes, parfois davantage). Ce genre exige de la part des musiciens une très grande technicité, voire même une certaine virtuosité. Les textes sont souvent poétiques et travaillés, mais il n’y a pas de thème inhérent au genre.

Dream Theater, Tool et Opeth sont des groupes phares du metal progressif.

Dream Theater – Pull Me Under

Tool – Schism
Opeth – Ghost Of Perdition
Haken – Cockroach King
Symphony X – Paradise Lost

Dérivés du metal et sous-genres hybrides

Il existe de nombreux sous-genres reprenant, en proportion variable, des éléments du metal et d’autres genres musicaux.

Le nu metal, par exemple, mélange du metal et du rap, du hip-hop ou de l’électro. Sous-genre très critiqué par les (true) metalleux, il est pourtant celui qui a amené beaucoup d’entre eux à écouter du metal. En effet, il est davantage diffusé par les médias et les groupes sont donc bien plus connus du grand public. C’est par exemple le cas de KoRn, Linkin Park, Limp Bizkit ou Slipknot. Ce style s’est développé à partir de la fin des années 90.

Le principal dérivé du metal reste de loin le metalcore, né lui aussi dans les années 90, qui s’inspire du punk hardcore et du metal. On y retrouve la brutalité du metal (principalement du death) mais avec un son de guitare et des structures rythmiques plus proches du punk hardcore. Cependant, bien que ce genre soit très développé et assez populaire, il existe un certain clivage entre les metalleux et les coreux, les premiers critiquant souvent le look et la surproduction des enregistrements (c’est-à-dire le fait de créer des albums impossibles à reproduire sur scène avec le même rendu sonore) des seconds. Les groupes connus sont assez nombreux, par exemple Trivium, Avenged Sevenfold, Bullet For My Valentine et All That Remains.

Les possibilités de mélanges de genres sont illimitées : du metal avec de la musique classique (metal néo-classique), de la funk (funk-metal), du post-rock (post-metal), du grunge (sludge metal) ou encore du rock psychédélique et du blues-rock (stoner metal) par exemple.

Pour résumer tout cela, je vous propose de visionner la vidéo sur le sujet réalisée par LinksTheSun, un Youtubeur bien connu pour ses fameux Points Culture, et également les épisodes 2, 4, 6 et 8 de Metalliquoi ?, une chaîne Youtube consacrée au metal. Enfin, si vous souhaitez en apprendre davantage sur les différents genres du metal et leurs connexions, je vous invite à vous rendre sur le site considéré comme « la bible du metalleux », la Map of Metal.

Ce tour d’horizon du metal s’achève. Comme vous avez pu le constater, finalement, le metal est un genre assez éclectique et très riche. Je suis convaincue qu’il existe au moins un groupe, ou au minimum une chanson, qui peut vous plaire.

Et vous, connaissiez-vous tous ces genres ? Y en a-t-il un que vous affectionnez en particulier ou que vous aimeriez découvrir ? Quelles chansons vous ont plu ? Laissez vos impressions dans un commentaire !

Sonatine

Sources

Wikipedia
Map of Metal
Chaîne Youtube de Metalliquoi ?

Image à la une : Wallpaperus

5 réflexions sur “Le metal pour les nuls : les différents genres et les dérivés du metal”

  1. Je ne connaissais pas tous les genres, mais au moins quelques groupes présentés dans cet article, mes chouchous sont Korpiklaani et Rammstein, je les écoute depuis mon enfance/adolescence !

     
  2. utilisateur-random

    Le death n’est pas du tout atonal bien qu’il puisse utiliser des tonalités inhabituelles comme le locrien, utiliser le triton ou de la seconde mineure.
    En tout cas pas la majorité du death, après oui il y a bien quelques groupes spécifiquement qui le sont au point que ça puisse faire penser à de la musique contemporaine (les italiens du groupe ad nauseam par exemple).

     
  3. Bonjour,

    Je viens de lire votre article sur les différents genres et les dérivés du metal et je dois dire que j’ai beaucoup appris. Votre analyse est claire et concise, ce qui rend le sujet accessible même pour les novices comme moi. J’aimerais en savoir plus sur les groupes qui ont marqué l’histoire du metal, vous en avez peut-être parlé dans un autre article? En tout cas, merci pour ce partage de connaissances et continuez comme ça!

     
  4. Bonjour, je voulais vous dire que votre article sur le metal est très intéressant. J’ai appris beaucoup de choses sur les différents genres et les dérivés du metal. Personnellement, je suis fan de metal symphonique et j’ai été ravi de voir que vous avez mentionné ce genre dans votre article. Merci pour ces informations utiles et j’espère pouvoir en discuter davantage avec vous.

     

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