Zoom sur les anciens journalistes

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Comment pourrions-nous retracer l’histoire du Mag’ à l’occasion de son premier anniversaire sans parler des journalistes qui en font partie intégrante ? Certains n’ont fait qu’un court séjour chez les violets alors que d’autres fossiles ont même connu la transition Gazette-Mag’ ! Mais qui sont ces anciens journalistes ayant appartenu à l’équipe il n’y a pas si longtemps que ça ? Quelles sont les raisons de leur départ ? Y a t-il un espoir de retour ? Nous avons mené l’enquête et nous vous proposons un retour sur les débuts du Mag’ !

Mais qui sont-ils?

Ah, le chiffre “quinze”, n’est-il pas beau ? Il l’est d’autant plus lorsqu’il s’agit de regrouper tous les anciens journalistes qui étaient venus renforcer notre belle équipe violette, estompant le gris dominant des membres. Mais ces anciens écrivains en herbe sont-ils encore tous biens encrés dans vos mémoires ? Seriez-vous capable de retrouver leur pseudo grâce à la seule force de votre matière grise ?

Quoi qu’il en soit, laissez-nous vous aider un peu : si l’on vous parle d’Analith, de Caesonia ou de Céleste, de Coconut Tree, dooxproduction ou encore d’Hurley ? Si nous vous disons Idefix, Jorkane et Phénix, mais aussi simWEEN, Solstice et ssmt ? Sans oublier thiiilde, Zélyie et Snoball. Tant d’anciens violets, qui, pour la plupart, sont retombés dans l’imposant océan gris de MC.

La vie d'un violet...

Qui n’a jamais été curieux de découvrir la passionnante vie de nos chers violets ? Quand le petit nouveau apprend que c’est pour lui le grand jour, celui où il pourra enfin porter cette magnifique couleur et rentrer dans l’univers des journalistes, correcteurs et RC et accomplir son devoir. Tiens, en parlant de RC, qui ont toujours la réputation d’être des sadiques, assoiffés de coups de bambous et de baffes de virgules, vous voulez sûrement découvrir le point de vue de nos ex-journalistes sur ces presque tyrans, et surtout, combien de temps elles ont pu tenir sous leurs commandements avant de devoir “rendre la plume”. Pour vous, nous avons mené l’enquête et nous pouvons d’ors et déjà vous révéler que les avis de nos anciens camarades sont plus qu’intéressants…

Le passage en violet, un moment inoubliable.

Il semblerait tout d’abord que le rituel sacré pour obtenir le titre de violet s’est très bien passé pour tout le monde, notamment grâce à l’accueil chaleureux que les membres de l’équipe offrent aux nouveaux venus. Analith le confirme, en racontant la manière dont elle a ressenti son passage:

 « Oh niquel ! Ahah je me rappelle encore quand j’ai reçu mon MP comme quoi j’étais admise dans l’équipe ! J’étais juste folle de joie et super impatiente de passer violette ! Et une fois dans l’équipe je peux vous dire qu’on est super bien accueilli ! ».

Pour certains, ce passage a été plus riche en émotion, comme nous le montre Phénix :

« Très bien passé. Je me suis connectée un jour et j’avais une section en plus. Je voulais aller dans la section de la Gazette et je suis tombée dans le privé, j’ai eu la frousse de ma vie (on ne m’avait pas prévenu de mon passage, surprise complète ! x))Après, ma période violette s’est très bien passée globalement. J’ai très vite été la potineuse (et j’étais bien stressée les premières fois), mais finalement ça m’a vite plu ! Après ça, j’ai continué à écrire des articles normaux et puis il y a eu la période d’élaboration du mag. »

Le sadisme des RC

Les premiers jours en tant que violet ne sont jamais faciles. En effet, vous êtes dans l’obligation de vous mettre à jour et de retenir un nombre inimaginable d’informations. Mais ce n’est pas tout… Il faut également survivre au sadisme sans limite des responsables de catégorie ! D’ailleurs, nous nous sommes permis d’interroger nos ex-violettes sur la façon dont les RCs les traitaient, et les avis sont plutôt mitigés… Aujourd’hui, la vérité éclate enfin au grand jour !

Tout d’abord, il y a ceux qui ont plutôt peur des coups de bambous et qui font l’éloge des RCs comme Petrouchka, plus connu sous le pseudo de SimWEEN:

« Non pas du tout! Elles sont formidables en privé comme en public, toujours à l’écoute. ».

Ensuite, il y a ces anciens violets, aux premiers abords honnêtes, qui se rattrapent pour éviter le châtiment, comme Jorkane qui nous donne un avis plutôt mitigé sur les RCs :

« Oh oui ! Elles sont cruelles, sans pitié, et dans quelques années elles domineront le monde ! Bon, en fait, il suffit de savoir comment s’y prendre avec elles, et le tour est joué (mais ne leur dites pas que je vous l’ai dit !). Plus sérieusement, pour avoir travaillé avec elles, je sais qu’elles consacrent beaucoup de temps pour que le mag fonctionne et, à moins que ça ait beaucoup changé depuis que je suis partie, elles font un boulot admirable. Et si jamais elles se montrent trop audacieuses, offrez-leur du Pulco, ça les calmera… ».

Certains sont même traumatisés, et ose clamer au monde entier l’enfer qu’elles ont vécu, n’est-ce-pas, Analith ?

« Ouuuuh que oui ! C’est l’horreur, on est maltraité. Elles font vraiment peur ! Oui oui, ceci n’est pas qu’une légende ! ».

Au final, comme le résume très bien notre amie Phénix :

« Le mystère reste entier… ».

Etre chez les violets, c'est bien.Y rester, c'est mieux!

Malheureusement, la plupart de nos anciens collègues ne sont restés que quelques mois. Peut-on mettre ça sur le compte des RCs et de leur sadisme ? La question reste encore sans réponse. Seules deux résistantes ont tenu le choc pendant plus d’un an, suscitant l’admiration de tous, puisque ce n’est plus un secret : les RCs nous mènent la vie dure ! D’ailleurs, le secret de leur longévité réside peut-être dans le fait que la gazette fonctionnait sans RC… Mystère…

Parmi les rescapées qui ont tout de même réussi à tenir plusieurs mois, nous sommes allées demander si elles se souviennent du temps qu’elles ont passé chez les violettes. On retrouve, entre autres, Solstice :

« Alors heu je dois avouer que je n’en ai absolument aucune idée, pas très longtemps quelques mois tout au plus », qui ne devait avoir ni montre, ni fenêtre dans sa cellule, mais aussi Idéfix qui n’a malheureusement pas pu tenir plus longtemps :

« Heu… Deux mois ? ».

Heureusement, certaines violettes, à qui le terme “sadomasochisme” n’est pas étranger, ont pu survivre à cette expérience plus d’un an, comme nous le montre Jorkane :

« Oulà, un bon moment quand même ! J’ai été recrutée pour la Gazette le 1er avril 2011 et j’ai quitté le 1er décembre dernier… Donc exactement 1 an et 7 mois. Mon deuxième anniversaire approchait ! ».

Mais la palme d’or revient tout de même à Phénix et ses deux années d’esclavage, quelle ténacité !

Vous ne vous en doutiez peut-être pas, mais comme vous pouvez le constater, les violets font partie d’une espèce très résistante et téméraire !

Expériences et souvenirs

“Enrichissant” est le mot qui revient lorsque l’on demande aux ex-violets de décrire leur expérience en tant que journaliste. Solstice résume à elle seule la pensée de tous les anciens :

« Enrichissant, vraiment une expérience très enrichissante, une découverte super agréable ».

 Jorkane, quant à elle, exprime ce mot d’une manière plus personnelle :

« Bon, ce n’est peut-être pas celui que vous attendiez, pas plus que celui qui sonne le mieux, mais je dirais « enrichissant ». J’entends déjà vos protestations ! J’aurais pu dire « fantastique », « magique », « extraordinaire », « inoubliable », mais non, faut que je me contente d’« enrichissant ». C’est plat, mais ça résume pour moi ce que l’équipe des Violets m’a apporté. Aussi ennuyant que cela puisse paraître ! ».

Enfin, Idéfix décide de qualifier cette expérience “d’instructive”, mais aussi de “courte”. Rappelons, en effet, que notre recrue n’était malheureusement restée que peu de temps avec nous. Malgré cela, elle garde un bon souvenir de cette expérience et nous donne une réponse intéressante :

« Court? Je dirais « instructif » : je découvre des membres sous un autre jour, et en même temps je réalise toute la difficulté, tout le côté obscur de la f… Du travail de journaliste! ».

Vous le savez vous-même, lorsque l’on fait partie d’une équipe, on est marqué par certains souvenirs, parfois déplaisants, mais souvent géniaux. En ce qui concerne nos ex-violets, le passage de la Gazette au Mag’ reste un moment gravé dans leur mémoire. En effet, les plus anciens journalistes ont été aux premières loges pour admirer la transition entre Gazette et Mag’ comme  Phénix, notre regrettée potineuse :

« Des tas, tellement que j’ai pas un seul exemple en tête. :’) Déjà le BBJ, qui reste un des topics phares du privée ! Bien sûr les membres de l’équipe et le jour où on nous a annoncé qu’on allait devoir arrêter la Gazette pour faire un Mag. Ça, ça nous a tous sacrément surprise ! ».

Jorkane confirme d’ailleurs ses propos :

« Il y a surtout tout le cheminement qui a été fait à partir du moment où on a appris que la Gazette allait être remplacée par le mag, en fait ! Le recrutement de journalistes, de correcteurs, de RC… La période où on entrait les archives, avec Katouee, l’experte, qui faisait quelques 10 articles par heures ! Sinon, je garde en mémoire qu’en plus d’un an et demi, je n’ai jamais créé le BBJ ! Pfffft ! ».

On retiendra enfin l’avis d’Idéfix qui souligne « le dévouement des journalistes et leur organisation sans faille », alors qu’Analith a plutôt été marquée par « l’entraide au sein de l’équipe ».

Que de bonnes choses sur notre équipe : de quoi passer du violet raisin au rouge tomate !

Les raisons du départ.

Toutes les bonnes choses ont une fin, c’est bien connu. Le travail de journaliste est une expérience formidable, certes, mais également un poste qui nécessite de la motivation, un esprit d’équipe et surtout du temps. Malheureusement, tout le monde ne possède pas ce dernier ingrédient qui fait que tout marche sur des roulettes, et c’est la cause de beaucoup de départs précipités. Analith nous le prouve ici :

« La raison de mon départ ? Le manque de temps…Avec la rentrée, la reprise des activités, loisirs…C’était dur d’être assez présente dans le mag. Je commençais à être un fantôme dans le privée donc j’ai décidé de partir pour laisser ma place. »

Eh oui, dans la vie d’un violet, tout n’est pas toujours rose, comme le montre la réponse d’Idéfix qui est tombée de haut lorsqu’elle a su ce que le rang coloré impliquait :

« J’ai vite été débordée par les implications (surtout techniques) du travail de journalisme. C’était donc pas seulement taper un Zoli article sur word puis le remettre sur le forum alors ?! Zut ! Du coup, en grande flemmarde saupoudrée d’une bonne dose de lenteur à m’adapter, je trouvais pas vraiment le courage de m’y atteler sérieusement, et ça bloquait au delà de la simple écriture d’article, j’avoue x] ».

Parfois, il s’agit également de problèmes plus profonds et souvent plus graves. Hurley, dans une mauvaise posture alors qu’elle était encore violette, a été obligée de faire un break pour mieux repartir par la suite :

« Au début, j’avais des problèmes personnels et cela m’empêchait d’être très présente dans le privé. J’avais décidé de rester malgré mes problèmes, car je croyais que cela se réglerait rapidement, mais rien ne se réglait et je devais prendre du temps pour moi-même. J’ai donc pris la décision de quitter l’équipe pour essayer de régler mes problèmes. En plus d’avoir l’impression que j’étais un poids lourd pour l’équipe, car je ne participais pas assez (surtout pour le Mag), je perdais de plus en plus la motivation pour continuer. Du coup, j’ai un peu lâché l’écriture pour me concentrer sur autre chose. »

 On notera son dévouement et cet aspect du travail d’équipe qui fait que lorsque l’on pense devenir un poids, on se retire. Qualité également présente chez Phénix qui exprime clairement la raison de son départ :

« Après deux ans dans l’équipe j’ai commencé à être un peu lassé malgré l’arrivé du Mag. J’ai tout simplement démissionné avant de devenir une RC inutile.».

Retour chez les gris.

Refaire partie des gris, ça doit être dur, non ? C’est en tout cas ce que nous nous disons tous en tant que coloré. Comment accepter de ne plus avoir la jolie couleur sur son pseudo, le privé avec nos collègues préférées, les articles en avant première ? Je ne vous cache pas que psychologiquement, il vaut mieux être armé. Mais contre toute attente, lorsque l’on demande à nos anciens journalistes s’il a été dur de retourner chez les gris, les réponses sont mitigées… Le privé manque à certain comme Petrouchka qui a confié que :

 « Le privé des Violets était fort sympathique, mais être membre l’est d’autant plus! ».

Jorkane, quant à elle, ne nous cache pas qu’elle s’ennuie du privé :

« Pas trop dur ? Je ne sais pas ! Les premiers jours, c’est comme si un poids m’était enlevé des épaules. Rien de très surprenant vu les raisons qui m’avaient poussée à partir… Cela dit, je ne peux pas dire qu’à présent je ne m’ennuie pas de l’ambiance qui régnait dans les pvs, de commenter les articles, de travailler sur les miens en fonction des commentaires… Bref, vous connaissez tout ça ! ».

 Enfin, Idéfix répond simplement que ce n’était pas difficile pour elle :

« Non non, vu que je restais extrêmement présente sur le forum, voilà quoi. ».

Vous lisez l’article depuis le début, mais finalement, nous savons pertinemment que vous n’avez qu’une seule question en tête, celle d’un éventuel retour chez les violets ! Voilà donc la partie où devrait figurer de bonnes nouvelles. Allons-nous les revoir un jour parmis nous ? « Oui je l’espère », répond simplement Ssmt. Jorkane, quant à elle, entretient le mystère avec seulement deux mots précédés des fameux points de suspension qui émettent toujours un doute :

« … Vous pouvez. ».

En revanche, certains seraient d’accord pour revenir, mais en explorant d’autres facettes du travail des violets. Idéfix nous confie par exemple que pour un éventuel retour, elle se verrait mieux en correctrice :

« J’avoue me sentir plus l’âme d’une correctrice que d’une journaliste, mais on n’a pas besoin de moi dans ce domaine”.

On peut également espérer retrouver Petrouchka un jour mais pas dans la même catégorie :

“Pourquoi pas, mais pas pour la même catégorie (Histoire)! ».

Malheureusement, d’autres manquent encore de temps et ne sont pas encore prêts à retenter l’aventure comme l’explique Analith :

« Ohh j’aimerais bien ! J’aimerais beaucoup même. Mais je ne pourrais pas respecter le quota 1 article par mois ! ».

Solstice, quant à elle, préfère être sûre d’avoir du temps avant de retenter l’expérience :

« Pourquoi pas envoyer une nouvelle candidature, me revoir un jour chez les violettes quand je m’en sentirai l’humeur et que je serai sûre d’avoir le temps ^.^ ».

Peut-être reviendront-ils un jour, demain ou dans un an. Rappelons que nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait !

Au final, c’est sur cette note positive que nous allons vous laissez méditer… Après avoir lu cet article, vous sentez-vous de taille à tenter votre chance pour intégrer l’équipe des violets ? Prêts à braver toutes les épreuves et à affronter les terribles Responsables de Catégorie ? Venez nous faire part de vos craintes, joies et envies!

Les anciens journalistes.

Joke et Nimage

11 réflexions sur “Zoom sur les anciens journalistes”

  1. Très complet comme article, et l’idée est très bonne ! Ça souligne bien le 1 an du mag ! en tout cas, merci à toutes et à tous, c’est grâce à vous si ça fonctionne ! 🙂

     
  2. Hihi Traino et moi devriont apparaître dedans 😛
    Sinon très bien cet article, ça commence bien la semaine !

     
  3. Mis à part une petite overdose du terme « sadique » au début de l’article… Il est chouette! C’est sympa de croiser comme ça les regards des différents journalistes =)
    Ca aurait pu être bien d’être remonté un peu plus loin mais bon, c’est bien aussi d’avoir juste les anciens du Mag et pas ceux de la Gazette^^
    Merci pour votre article en tous cas =)

     
  4. Ca en fait des anciens violets ayant participé au Mag ! L’article est vraiment sympa, c’est l’occasion de souligner le travail de tous ceux qui ont participé, plus ou moins longtemps à ce beau projet ! Et c’est une très bonne idée d’avoir les avis de plusieurs anciens…

     

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