Retour d’expérience : ma démarche de stérilisation volontaire

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Après une longue période de réflexion et de prise d’informations, je me suis décidé à entamer un parcours de stérilisation volontaire à visée contraceptive. J’ai choisi de vous partager mes réflexions et le déroulement des différentes étapes au fur et à mesure du parcours.

Disclaimer : cet article, la réflexion et les opinions qui y sont partagées ne constituent que mon point de vue individuel au moment de son écriture et de sa parution.

Premières étapes : la réflexion préalable et le lancement du parcours

Nous sommes le dimanche 10 juillet 2022 et mon parcours de stérilisation volontaire a été entamé il y a quelques jours. J’avais téléphoné la semaine dernière au secrétariat de ma gynécologue pour prendre rendez-vous et j’ai eu de la chance, car quelqu’un venait de se désister, ce qui m’a permis d’avoir une place très rapidement par rapport aux délais habituels (d’autant que ma gynécologue exerce en hôpital).

Si vous ne le savez pas, je suis un homme transgenre de 25 ans. J’ai entamé mon parcours de transition médicale il y a environ un an, moment auquel j’ai consulté pour la première fois cette gynécologue, et je suis sous traitement hormonal à la testostérone depuis le 25 décembre 2021. Auparavant, je prenais la pilule en continu, et ce, depuis mon adolescence, suite à des problèmes de règles très abondantes et douloureuses.

Si vous souhaitez vous aussi vous engager dans un parcours de stérilisation volontaire, la première étape sera de prendre rendez-vous avec le spécialiste approprié : pour une ligature des trompes, il s’agira d’un gynécologue et pour une vasectomie, il faut s’adresser à un urologue.

Dès le premier rendez-vous, j’ai abordé avec la spécialiste ces problèmes ainsi que mes positions quant au désir d’enfant et de grossesse. Je ne suis pas fixé formellement sur la question d’avoir ou non des enfants un jour, même si je penche plutôt du côté child-free* de la balance. Cependant, je suis certain de ne pas vouloir risquer de transmettre ma maladie (le syndrome d’Ehlers-Danlos) à un enfant. C’est une question qui fait souvent débat au sein des cercles de malades chroniques et de personnes handicapées : il ne s’agit pas d’un positionnement moral de ma part et je ne me permettrai absolument pas de porter un jugement sur les personnes ayant fait un choix différent du mien à ce sujet. Simplement, dans mon cas personnel, je ne souhaite pas prendre ce risque.

L’éventualité d’une grossesse non désirée me fait peur depuis très longtemps. Aucun moyen de contraception n’est fiable à 100 %, et je suis bien placé pour le savoir puisque ma mère est tombée enceinte de moi par accident, alors qu’elle portait un DIU* ! Le fait de devoir arrêter la pilule pour commencer mon traitement hormonal était donc une source d’anxiété et, même si certaines pilules sont compatibles avec la prise de testostérone, je préfère ne pas me « surcharger d’hormones » si je peux l’éviter.

Contrairement à une idée reçue, la testostérone prise dans le cadre des transitions transmasculines* n’est pas un contraceptif fiable du tout ! Il est possible qu’elle réduise légèrement les risques de grossesse, mais aucune étude n’existe actuellement pour attester de cet effet. Au contraire, de nombreuses personnes transmasculines sous testostérone ont eu la surprise (bonne ou mauvaise) de tomber enceint. La santé des personnes trans, comme pour le reste des personnes LGBTIA+, est toujours mal connue et il faut redoubler de prudence avant de considérer une information fiable.

Mon endocrinologue elle-même, qui suit pourtant d’autres personnes trans depuis plusieurs années, était étonnée de me voir lui demander quelle contraception nous pourrions mettre en place lorsque je commencerai la testostérone… Elle m’avait répondu qu’on pourrait en reparler le moment venu si cela me rassurait (car j’avais insisté sur ma crainte d’une grossesse accidentelle), mais que selon elle, une fois le traitement hormonal établi et stabilisé (au bout de quelques mois, après les premiers ajustements éventuels des dosages en fonction des analyses hormonales de suivi), le risque de grossesse était « nul ». J’étais extrêmement sceptique et je lui en avais fait part. Lorsque je l’ai revue il y a quelques mois, son discours était totalement différent et elle m’a rappelé l’importance de la protection, ainsi que d’une contraception en cas de rapports pénétratifs…

Revenons-en à nos moutons : j’avais donc d’ores et déjà abordé ces questions avec ma gynécologue. Au départ, je me dirigeais plutôt vers une hystérectomie (ablation chirurgicale de l’utérus), car celle-ci me permettait de régler plusieurs problèmes d’un coup : à la fois la question de la fertilité et mes douleurs, qui étaient devenues extrêmement handicapantes au quotidien. J’étais de plus en plus souvent plié en deux de douleur pendant plusieurs minutes, plusieurs fois par jour et plusieurs jours par semaine, et ce même lorsque j’étais sous pilule. J’ai donc effectué plusieurs examens l’année dernière à la recherche d’endométriose et d’un syndrome des ovaires polykystiques, deux maladies pour lesquelles je présentais plusieurs signes cliniques. Les analyses et les imageries n’ont pas permis de mettre formellement en évidence la présence de ces maladies, mais d’après mes médecins il est tout de même possible, voire probable, que j’en sois atteint.

Ma gynécologue m’a proposé en décembre dernier d’essayer un traitement contre les douleurs. Il s’agit à l’origine d’un anti-dépresseur, mais qui est aussi couramment prescrit pour lutter contre les douleurs neuropathiques. Je n’avais rien à perdre à tester ce traitement, et passé les premières semaines d’acclimatation (durant lesquelles j’étais assommé au point de dormir quasiment toute la journée pendant une dizaine de jours), son effet a été indéniable ! Je touche du bois en l’écrivant, mais cela fait maintenant plus de six mois que je n’ai pas eu une seule crise de douleurs comme auparavant, malgré les trois semaines d’affilée de règles que j’ai eues deux fois, une première à l’arrêt de la pilule en novembre puis au début de la prise de testostérone, vers fin décembre – début janvier.

Mes règles ont également fini par s’arrêter en février et, pour l’instant, elles n’ont pas l’air décidé à revenir, ce qui me convient évidemment très bien. Ces deux problèmes mis de côté, je n’avais plus vraiment besoin d’une hystérectomie, du moins pas urgemment. J’ai donc pris à nouveau le temps de la réflexion sur ma volonté de stérilisation et les autres options qui se présentaient.

Comment l’actualité a fait ressurgir ma réflexion et ma volonté d’être stérilisé

Les événements récents ayant eu lieu aux États-Unis, autrement dit l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade par la Cour Suprême en juin 2022, m’ont brutalement rappelé à l’ordre. Cet arrêt rendait inconstitutionnelles les lois interdisant l’IVG, protégeant donc ce droit dans tous les États. Dès son annulation, chaque État a pu instaurer sa propre loi et plusieurs d’entre eux ont restreint voire totalement interdit l’avortement. Comme Simone Veil elle-même le disait : « Rien n’est jamais définitivement acquis. Il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. »
Même si je n’avais jamais totalement pris cette phrase à la légère, il y a une très grosse différence entre se dire théoriquement que les droits des femmes (et des minorités de genre) ne sont jamais une certitude absolue et observer en direct la disparition extrêmement rapide de ce droit, à notre époque, dans un pays au climat politique relativement similaire au nôtre. Cette décision de la Cour Suprême est, entre autres, une des conséquences de l’élection de Donald Trump en 2016 et de l’ampleur qu’ont pu prendre les mouvements extrêmement conservateurs et d’extrême-droite ces dernières années. Nous ne sommes pas aux États-Unis, mais les élections législatives qui viennent de se dérouler en France ont permis de placer à l’Assemblée Nationale 89 membres du Rassemblement National (ex-Front National), parti ayant déjà exprimé, dans un passé pas si lointain et à plusieurs reprises, sa volonté de restreindre le droit à l’IVG, au moins en partie.

Le lendemain de ma consultation avec ma gynécologue, l’actualité française elle-même renforçait à nouveau mes craintes, le Conseil Constitutionnel ayant statué l’exclusion des hommes transgenres (et personnes transmasculines) de la PMA*. Cela signifie qu’un homme transgenre ayant conservé ses organes reproducteurs (ovaires, utérus…) mais ayant effectué son changement de sexe à l’état civil ne pourra pas accéder à la PMA, alors qu’une femme cisgenre* à situation égale pourra y avoir recours. Cette décision de restreindre un tel droit en fonction d’une donnée administrative (la mention de sexe à l’état civil) risque de créer un précédent redoutable, la loi autorisant l’IVG étant rédigée ainsi : « La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse. Cette interruption ne peut être pratiquée qu’avant la fin de la douzième semaine de grossesse. »
S’il est officiellement constitutionnel de refuser l’accès à la PMA aux hommes trans ayant changé leur état civil, qu’est-ce qui nous protégera d’un refus d’accès à l’IVG dans les mêmes conditions ? Jusqu’en 2016, la loi française imposait les opérations de stérilisation aux personnes trans qui souhaitaient changer leur état civil. Cette loi transphobe n’est plus en vigueur mais dans les faits, les personnes trans sont toujours autant exclues de certains droits fondamentaux sur la seule base de leur transidentité…

Suite à cette prise de conscience et n’ayant toujours pas changé d’avis sur la transmission de mes gènes, j’ai souhaité officiellement lancer mon parcours de stérilisation volontaire. J’avais déjà à peu près en tête le déroulement des choses, étant membre depuis plusieurs années d’un groupe Facebook de partage et d’entraide à ce sujet. Cet espace permet à de nombreuses personnes d’échanger leurs témoignages et de trouver des réponses à leurs questions. La stérilisation volontaire reste encore un sujet plutôt tabou et le fait de ne pas ou de ne plus vouloir d’enfants est souvent mal compris voire mal perçu. Il ressort d’ailleurs souvent des témoignages une difficulté à trouver des praticiens qui acceptent d’opérer les personnes qui le souhaitent et ce, d’autant plus lorsqu’il s’agit de personnes jeunes et nullipares (c’est-à-dire n’ayant pas d’enfant).
Comme j’avais déjà abordé le sujet avec ma gynécologue, je savais qu’elle était ouverte sur cette question et ça a été un obstacle de moins dans mon parcours, puisque je n’ai pas eu à chercher pendant plusieurs mois (voire plusieurs années…) un spécialiste qui accepterait de me stériliser.

J’en profite d’ailleurs pour rappeler que le choix d’effectuer une opération de stérilisation à visée contraceptive est, en France, un droit pour toute personne majeure (à l’exception des personnes faisant l’objet d’un placement sous tutelle ou curatelle), peu importe son genre, son âge, son orientation sexuelle et romantique, sa situation familiale et amoureuse (loi n°2001-588 du 4 juillet 2001). Certains médecins peu renseignés (ou peu scrupuleux…) tiennent parfois des discours selon lesquels il serait, par exemple, illégal de pratiquer une stérilisation en dessous de 35 ans, ou si la personne n’a pas d’enfant : ces propos sont totalement faux.

En revanche, le praticien que vous consultez est tout à fait en droit de refuser de pratiquer lui-même ce genre d’opération et, contrairement à une affirmation qui revient fréquemment dans les espaces d’échanges, il n’a pas d’obligation de vous rediriger vers un autre spécialiste qui accepterait de la réaliser. Cette idée reçue provient peut-être d’une confusion avec l’IVG, que le médecin est aussi autorisé à refuser de pratiquer mais pour laquelle il est tenu de vous orienter vers un confrère ou une structure qui vous permettra d’accéder à votre demande. Pour les opérations de stérilisation, la seule obligation du praticien est de vous informer de son refus de pratiquer cet acte dès la première consultation où vous évoquez votre souhait.

Déroulement de ma première consultation gynécologique dans le cadre de mon parcours de stérilisation volontaire

Après vous avoir exposé mon cheminement de réflexion et les premières recherches effectuées au fil des années au sujet de la stérilisation, j’en viens enfin à vous raconter le déroulement de mon premier rendez-vous avec ma gynécologue dans ce cadre. Comme à chaque rendez-vous, elle m’a demandé pourquoi je la consultais : je lui ai donc expliqué directement que je souhaitais reparler de stérilisation et m’engager dans ce processus.

Elle m’a ensuite expliqué les différentes options qui s’offraient à moi et les implications de chaque solution : hystérectomie comme nous l’avions déjà évoqué, ligature des trompes, ovariectomie (retrait chirurgical des ovaires)… Quelles que soient l’opération et la méthode choisies, il faut respecter un délai légal de quatre mois de réflexion. Elle m’a confié un livret d’information officiel du gouvernement dans lequel se trouvent des annexes à date et signer, l’une lors du premier rendez-vous et la suivante après le délai de réflexion de quatre mois.

Ce livret est disponible en pdf sur le site du ministère de la santé. Il me paraît plutôt correct, même si certaines choses me font grincer des dents :
– Évidemment, il est rédigé de manière totalement ciscentrée*, ce qui n’est pas surprenant puisque les personnes transgenres existent à peine pour l’administration et le gouvernement.
– À la page 10 du livret, il est rappelé que les méthodes de stérilisation ne sont pas une protection contre « les infections sexuellement transmissibles, et notamment [le] Sida ». C’est une très bonne chose de le rappeler, mais je trouve absolument honteux qu’un document de ce genre et surtout émanant du ministère de la Santé fasse (et par conséquent, entretienne) encore, en 2017, la confusion entre VIH et Sida.
– À la page 18, à propos du préservatif externe (dit « préservatif masculin » dans le livret) : « Son efficacité dépend de ses conditions d’utilisation et de la motivation des couples qui l’utilisent ». Si la première partie de la phrase est vraie et qu’il est important de le rappeler, je ne comprends pas comment la fin de cette phrase a pu se retrouver dans ce document.
– D’ailleurs, comme le livret date de 2017, une des informations à propos des préservatifs externes n’est pas à jour, mentionnant qu’ils ne sont pas pris en charge par l’Assurance Maladie alors qu’ils le sont, à 60 %, depuis 2018. Deux marques sont concernées : Eden et Sortez Couverts. Vous pouvez demander une ordonnance à votre généraliste ou à un médecin spécialiste (comme un gynécologue par exemple). N’oubliez pas de préciser qu’il faut une ordonnance renouvelable, sinon vous risquez de ne vous voir délivrer qu’une seule boîte.

Le reste du livret me semble assez bien. On y trouve également en annexe un extrait de loi concernant la stérilisation volontaire, ainsi qu’une liste des CECOS (Centre d’Études et de Conservation des Ovocytes et du Sperme) à destination des personnes souhaitant conserver leur sperme avant une vasectomie. La conservation des ovocytes n’est par contre pas mentionnée dans le livret, car la ligature des trompes n’empêche pas le prélèvement des ovocytes par la suite (du moment que les ovaires ne sont pas retirés). En théorie, même après une ligature des trompes, il vous sera donc possible de vous engager dans un processus de PMA (enfin, à condition que vous ne soyez pas trans…) avec vos propres gamètes.

Ma gynécologue m’a donc exposé les possibilités et m’a dit que j’avais tout le temps de réfléchir à la solution que je souhaitais pendant le délai de réflexion et même après. Elle est du même avis que moi concernant la non-nécessité d’une hystérectomie tant que je ne suis plus embêté par les douleurs et mes règles. Elle a évoqué l’ovariectomie qui présente l’avantage de réduire les risques de cancer, mais s’accompagne d’un inconvénient : si un jour, pour une raison ou pour une autre, je suis contraint d’arrêter la testostérone, si je n’ai plus d’ovaires à ce moment-là il faudra que je prenne des hormones de substitution « féminisantes » (le corps ayant besoin d’hormones pour fonctionner), une éventualité dont je n’ai pas envie du tout.

Je reste donc sur l’idée d’une ligature des trompes. D’après ses explications, cette opération peut se pratiquer de deux manières différentes : soit par voie vaginale, soit par coelioscopie. La coelioscopie consiste à opérer à l’aide d’une petite caméra que l’on passe par de petites incisions effectuées au niveau de l’abdomen. La caméra permet à l’équipe chirurgicale de voir l’appareil reproducteur et d’accéder aux trompes sans avoir besoin de pratiquer une grosse incision sur le ventre. La voie vaginale, elle, présente l’avantage de ne pas laisser de cicatrices visibles. Dans mon cas, ayant des difficultés de cicatrisation liée au syndrome d’Ehlers-Danlos, je préfère que les cicatrices soient visibles pour pouvoir les surveiller lors de la période post-opératoire.

L’une comme l’autre de ces options sont des chirurgies légères, réalisables en ambulatoire dans la majorité des cas (ce qui signifie que vous pouvez rentrer chez vous quelques heures après l’opération, sans devoir passer la nuit à l’hôpital). Toutefois, elles se déroulent systématiquement sous anesthésie générale. Il faut ensuite compter quelques jours pour se débarrasser des petites gênes post-opératoires. Un arrêt de travail, d’une durée de 3 à 10 jours environ, vous sera prescrit et vous devrez éviter le port de charges lourdes et toute activité physique intense pendant quelques semaines. Attention aussi pour celles et ceux que cela concerne : la ligature, en dehors de provoquer la stérilité, n’a aucun effet sur le cycle menstruel ! Elle ne vous empêchera pas d’avoir vos règles, ni d’ovuler (sauf si les ovaires sont retirés). Dans certains cas, qui restent extrêmement rares, il est possible que l’opération ne fonctionne pas totalement et qu’une grossesse, généralement extra-utérine, ait lieu. Comme tous les autres moyens de contraception, la ligature ne garantit donc pas à 100 % une absence totale de risque de grossesse.

Voilà à peu près où j’en suis actuellement dans ma réflexion et mon parcours. Je vous donne rendez-vous lors de la prochaine étape, qui aura normalement lieu au mois d’octobre environ, après le délai de réflexion. Ce second rendez-vous devrait nous permettre de confirmer mon souhait et de préparer l’opération.

Lexique :

Child-free : Personne ayant choisi de ne pas avoir d’enfants.
DIU : Dispositif intra-utérin, aussi connu sous le nom de « stérilet ». Ce nom est de moins en moins utilisé pour éviter d’induire en erreur en donnant l’impression que le DIU rend définitivement stérile alors que ce n’est pas le cas. C’est une méthode de contraception qui consiste à placer un petit objet dans l’utérus pour empêcher une grossesse.
Personne transmasculine : Personne assignée femme à la naissance, transitionnant vers un autre genre (homme, non-binaire…).
PMA : Procréation médicalement assistée. Parcours visant à aider les personnes qui ont des difficultés ou ne peuvent pas avoir d’enfant « naturellement ».
Personne cisgenre : Personne dont le genre est en accord avec celui qui lui a été assigné à la naissance. Contraire de « personne transgenre ».
Ciscentré : Contenu prenant majoritairement, voire uniquement, en compte le point de vue et l’expérience des personnes cisgenres, le rendant souvent inadapté ou incomplet pour les personnes transgenres.

Charlie P.

Sources texte :

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