La thérapie avec le cheval dispensée aux personnes atteintes de déficience mentale

Thérapie avec le cheval
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Thérapie avec le cheval

De nombreuses personnes peuvent attester du bienfait d’un animal dans leur vie, comme nous pouvons le constater grâce à cet article. Quel cavalier n’a jamais ressenti que chevaucher sa monture lui apportait du bonheur à l’état pur ? Qu’il avait presque un effet thérapeutique sur lui ? Un nouveau traitement a fait son apparition en Europe dans les années 1970 : la thérapie avec le cheval. Celle-ci s’applique notamment à des personnes atteintes de déficience mentale. Prodiguée par un zoothérapeute agréé, répondant à divers critères, la thérapie avec le cheval aide la personne handicapée au niveau social, de la relation à soi et également corporel. 

S’il n’existe pas de solution miracle permettant d’ôter le handicap, cet article s’intéressera au travail du trio « thérapeute – personne atteinte de déficience mentale – cheval » dans le but d’expliquer le rôle de la thérapie avec le cheval. 

Qu’est-ce que la thérapie avec le cheval ? 

La thérapie avec le cheval (TAC) utilise l’équidé en tant que médiateur entre le thérapeute et le patient. Beaucoup de gens confondent la TAC avec l’hippothérapie. La différence entre les deux réside dans le fait que l’hippothérapie est dispensée par des physiothérapeutes et vise surtout la rééducation physique grâce aux mouvements du cheval tandis que la TAC se concentre plus sur la relation entre le patient et sa monture, afin d’atteindre le psychisme de la personne, même si elle l’aide également sur le plan physique. 

Qui peut bénéficier de la thérapie avec le cheval ? 

Selon de nombreux spécialistes, la thérapie avec le cheval aiderait principalement les patients atteints de trouble du développement ou de la communication, comme par exemple les personnes souffrant de problèmes neurologiques, de troubles comportementaux, de maladies nerveuses (psychose, autisme, etc.), génétiques (trisomie 21) ou psychologiques (dépression, troubles caractériels, dépendances, etc.) Cette thérapie a pour mission d’épanouir l’individu sans le brusquer, quel que soit son âge. Certains commencent cette thérapie alors qu’ils sont enfants tandis que d’autres la débutent à un âge plus avancé. Des enfants de 4 ans comme des adultes de 50 ans peuvent bénéficier de cette thérapie. 

Toutefois, lorsque le patient souffre de problèmes physiques ou psychiques trop lourds, il vaut mieux éviter de le laisser monter à cheval, pour sa propre sécurité comme pour celle de l’animal. La prudence reste l’un des maîtres-mots. Le thérapeute tiendra l’animal assez court pour le guider, le longera ou laissera le cavalier évoluer librement sur son dos tout en restant très vigilant. En fonction du patient, le thérapeute peut se faire aider par une deuxième personne qui s’occupera de tenir le cheval tandis que le thérapeute soutiendra le patient.

Thérapie avec le cheval

Les objectifs de la thérapie avec le cheval 

La thérapie avec le cheval aide les personnes souffrant de déficience mentale à gérer leurs soucis, leur stress, sans se laisser envahir. Les différents gestes à effectuer, tels que panser, seller, brider un cheval ne peuvent se faire ni dans la précipitation, ni dans l’énervement. 

Cette thérapie permet également de travailler sur le physique et les sensations du patient : toucher, sentir, caresser le cheval, le brosser et le soigner, apprendre à respecter cet être si différent, se donner la peine de comprendre son langage…Tout cela aide le bénéficiaire de la thérapie à prendre conscience que lui aussi possède son propre mode de vie et qu’il a droit au respect, tout comme il se doit de respecter autrui. 

Lors des exercices au sol (c’est-à-dire à pied, à côté du cheval), le patient travaille sur l’espace de son propre corps ainsi que sur celui du cheval. La confiance s’instaure petit à petit : le cheval se fie au patient (soutenu par le thérapeute), tandis que le cavalier apprend qu’il peut accorder sa confiance à l’animal. Le patient se rend compte que le cheval l’écoute, lui obéit et se soumet à lui. Il se sent immédiatement revalorisé à ses propres yeux. Souvent, sa famille, ses éducateurs ou ses amis sont là pour l’admirer à leur tour. Le vrai travail peut alors commencer. 

Les spécificités d’une séance de la thérapie avec le cheval 

D’après de nombreux thérapeutes, le plan type d’une séance montée se déroule ainsi :  
1. Détente
2. Exercices connus
3. Apprentissage de nouvelles données
4. Application de ces données nouvelles par des exercices précis et par des jeux
5. Retour au calme par une activité sécurisante. 

À savoir qu’au préalable, s’il en est capable physiquement, le patient aidera son thérapeute à panser et à harnacher sa monture. Ce moment s’avère très important puisqu’il constitue le début d’un rituel dans lequel le thérapeute et le patient évoluent ensemble autour du cheval, partageant des informations peut-être anodines pour le premier venu mais très importantes pour le patient qui sent qu’on l’écoute, qu’on lui accorde de l’importance et de la confiance : on lui donne le droit de s’occuper d’un animal imposant. Pour le thérapeute, cet instant lui donne l’occasion d’établir un premier contact avec le patient, de lui donner gentiment des ordres comme « Brosse-le à cet endroit, il est sale. », ce qui permettra ensuite, lors de la thérapie en manège, de faire passer plus facilement ses ordres puisque le patient s’y sera déjà habitué en box.

Il est très important que le patient n’éprouve pas de sentiment d’échec, ce qui pourrait le perturber et le faire régresser. Ceci arrive encore trop souvent après une chute de cheval : le patient et l’animal restant, malgré tout, imprévisibles. Tout animal inclus dans une thérapie doit être consciencieusement sélectionné et éduqué sous la responsabilité d’un professionnel afin de faciliter le contact avec les personnes avec lesquelles il devra travailler. 

Sans faire de généralité, il vaut donc mieux utiliser des chevaux (ou poneys, voire même mules ou ânes dans certains cas) expérimentés, connus depuis plusieurs années par le thérapeute et exclure tout animal à sang chaud. Le thérapeute doit être en mesure d’anticiper les réactions de chaque équidé. Il passera beaucoup de temps en dehors des thérapies avec eux, dans le but d’en apprendre chaque fois plus sur eux. Il est aussi indispensable pour le thérapeute de détecter la fatigue physique ou psychologique du cavalier afin de passer à une activité plus relaxante. Si le thérapeute ne décèle pas les symptômes typiques de ces détracteurs, le patient ne sera plus motivé. Il s’enfermera dans son monde intérieur et abandonnera tout contact réel avec le thérapeute. La séance n’aura, par conséquent, pas abouti aux objectifs espérés. Ce ne sera donc que partie remise. Comme partout, l’échec doit être accepté et analysé afin de repartir sur le bon pied. En cas de chute du cavalier, le thérapeute discute avec lui pour savoir s’il souhaite remonter, mais il essaiera de le remettre en contact avec le cheval (que ce soit sur son dos ou juste par une caresse si le cavalier refuse de remonter) pour que le dernier contact reste doux et positif.

Thérapie avec le cheval

Perception du cheval par les patients de la thérapie avec le cheval 

La perception du cheval dépend de chacun. Certains patients en ont peur : il s’agit d’un immense animal ! En règle générale, c’est le cavalier qui apprivoise le cheval. Dans le cadre de la thérapie, c’est l’inverse : le cheval (par le travail du thérapeute) apprivoise le cavalier, lui montre qu’il peut lui faire confiance. 

D’après des spécialistes, tels que Renée de Lubersac ou François Beiger, il existe des zones communes entre le psychisme du patient déficient et celui de l’animal. Ces zones peuvent être le jeu, la relation gestuelle, la communication verbale. En zoothérapie, on se situe dans un schéma triangulaire : le patient, le zoothérapeute et l’animal qui va aider au niveau du psychique, du social, des émotions… 

Bien souvent, le silence de l’animal sécurise le patient, d’où le fait qu’il accepte d’entrer en contact avec lui plus facilement qu’avec les humains. Les animaux ne mentent pas, ne jugent pas, ne se moquent pas cruellement du handicap. Ainsi, le patient se sentira moins stressé par la présence d’un animal que par celle d’un humain. 

Si l’on se fie aux dires de quelques thérapeutes, le cheval possède un aspect maternant. Il porte, berce son cavalier au rythme de ses allures. Il permet la régression, offre la possibilité de repartir différemment. Il aide à construire des étapes. Le cavalier peut exprimer ses émotions d’une nouvelle manière sur son dos. 

Lors de la première étape d’une séance, la relaxation, une relation intime s’instaure entre le patient et le cheval. Le cavalier handicapé associe le pas du cheval au rythme cardiaque de sa mère qui le portait contre elle lorsqu’il était bébé. Cette association s’appelle le « holding ». Le cheval offre une continuité au corps de son cavalier. Ils ne forment plus qu’une seule personne. Le bébé se calme lorsqu’il entre en contact avec sa mère. Ici, le cavalier handicapé se calme lorsqu’il sent le contact entre son corps et celui du cheval en mouvement. 

Le cheval enseigne à l’homme, handicapé ou non, la maîtrise de soi et la faculté de s’introduire dans les pensées et les sensations d’un autre être vivant. Ainsi, le cavalier apprend l’empathie. 

Thérapie avec le cheval

Les bienfaits physiques de la thérapie avec le cheval 

L’équitation fait travailler les muscles de manière plus ou moins symétrique. Ceux des jambes et des cuisses servent à assurer l’assiette (la tenue en selle du cavalier), et le talon ainsi que les mains permettent au cavalier d’entretenir un lien tactile avec l’animal. Les muscles de la paroi abdominale et pelvienne accompagnent le mouvement de l’animal et demandent au cavalier un travail constant et soutenu. 

Le travail musculaire permet au cavalier de se détendre, de détruire les contractions inutiles qui le fatiguent ou le mettent dans l’inconfort. Il permet au patient d’améliorer son équilibre, sa coordination et lui apprend la dissociation tout en exigeant un tonus adéquat. 

• Les bienfaits de la thérapie avec le cheval sur l’équilibre

Les muscles du tronc agissent de manière antigravitationnelle chez le cavalier. Ils sont sollicités en permanence à cause du mouvement du cheval. Petit à petit, le cavalier apprendra à mieux accompagner les allures de son cheval, à ne plus être ballotté dans tous les sens. Par le travail musculaire, il parviendra à trouver une bonne posture. C’est ce que nous appelons dans le monde équestre, « trouver une bonne assiette. » Cela consiste à tenir en équilibre sur le cheval. (Pour en savoir plus sur l’assiette, n’hésitez pas à lire cet article). Le sens de l’équilibre permet au cavalier handicapé de prendre conscience de son propre corps. Il éprouve des sensations qui l’amèneront vers une sécurisation interne, qu’il n’avait pas, ou peu, avant de commencer la thérapie. 

• Les bienfaits de la thérapie avec le cheval sur la coordination 

Pour monter à cheval, il faut être coordonné. Par exemple, si un cavalier veut changer de direction, il doit tourner sa tête et regarder dans la direction souhaitée. Son corps suit en partie cette rotation. Une partie de son poids est porté de ce côté. Ainsi, le geste du bras, censé ouvrir la rêne du côté vers lequel le cavalier veut aller, est facilité. Ses mains, par action sur les rênes, feront comprendre au cheval qu’il doit se déplacer. La jambe se reculera automatiquement, chassant les hanches du cheval et le menant vers la direction désirée. Le bassin suit le mouvement du cheval.
Monter à cheval implique toute une coordination mains-bras-jambes-bassin-regard. Cette coordination lui permettra d’en apprendre d’autres lorsqu’il sera confronté à d’autres situations. 

• Les bienfaits de la thérapie avec le cheval sur la dissociation

L’équitation exige de la coordination, comme cela a été expliqué ci-dessus. Toutefois, il arrive qu’un cavalier, chevronné ou non, commette des mouvements superflus. Pour le cavalier, comme pour le cheval, ces mouvements superflus sont nuisibles. Si le geste n’est pas précis, le cheval ne comprendra rien et n’obéira pas. Le cheval sanctionne par son refus d’obtempérer son cavalier. Ces « erreurs » sont plus ou moins fréquentes. Par exemple, lorsqu’un cavalier veut faire tourner son cheval à gauche, il doit normalement utiliser ses mains, surtout celle qui se situe dans la direction où il veut mener sa monture. Souvent, la main qui ne doit pas être utilisée suit l’autre, dans un mouvement automatique. La main droite passe à gauche de l’encolure du cheval (ou vice-versa), tirant sur la rêne de l’animal. En exerçant une traction sur le mors du côté droit du cheval, celui-ci, sollicité par cette traction, refusera d’aller à gauche, comme l’aimerait son cavalier. Le cavalier déficient se rend vite compte de cette évidence et apprend à rectifier le tir pour se faire obéir de sa monture. Il comprendra que s’il demande un ordre correctement, le cheval réagira selon son désir. Fier d’avoir réussi à surmonter une erreur, le patient sera dans de meilleures dispositions psychologiques pour entamer la suite de sa thérapie.

• Les bienfaits de la thérapie avec le cheval sur l’ajustement du tonus

La coordination et la dissociation ne sont valables que si elles sont accompagnées d’un tonus adéquat. C’est ce qui permet au cavalier d’avoir une certaine assiette en selle. En effet, un cheval pèse en moyenne 450 kilos. Il est clair que si un cavalier est hypotonique et exécute une faible action avec sa main pour qu’il tourne, le cheval ne sentira presque rien et ne tournera pas. Par contre, si le cavalier est hypertonique et tire de manière brutale dans la bouche du cheval, celui-ci se rebellera à cause de la douleur. Le patient, s’il veut se faire obéir, devra apprendre à ajuster ses gestes, à les exécuter selon une certaine manière, avec un certain tonus. Cela lui permettra, le cas échéant, de pouvoir ajuster son tonus dans d’autres situations de la vie courante.

Thérapie avec le cheval

Le rôle du thérapeute au sein de la thérapie avec le cheval

Thérapie avec le cheval

Le thérapeute équestre doit maîtriser trois domaines : l’aspect soignant, celui d’homme, de cheval et celui de pédagogue. 

• En thérapie avec le cheval, le thérapeute doit maîtriser le domaine soignant 

Le but du thérapeute est de soigner le patient, de le soulager.

Pour devenir thérapeute, il faut avoir appris au sein d’une école ou d’une faculté les connaissances nécessaires permettant d’exercer ce métier. Cela va de l’anatomie à la pédagogie en passant par la psychologie.

Le thérapeute doit également apprendre d’autres techniques afin d’enrichir ses connaissances, comme, par exemple, l’éducation gestuelle, la relaxation ou encore l’expression corporelle.

Lors d’une séance, le thérapeute, quel que soit son sexe, est souvent perçu comme une figure maternelle par le patient. Pour cette raison, il est important que le thérapeute puisse raconter ailleurs, lors de réunions avec des collègues, ce qu’il vit avec ses patients, afin de se soulager émotionnellement et/ou de recevoir des conseils.

Dans le cadre des séances avec deux thérapeutes, le patient les placera en situation parentale, même si les thérapeutes sont du même sexe. Il est donc impératif que la paire s’entende parfaitement sur la manière de pratiquer. Si des conflits surgissent, il est primordial que tous deux en discutent. 

• En thérapie avec le cheval, le thérapeute doit maîtriser le domaine homme de cheval 

Pour pratiquer la thérapie avec le cheval, il faut obligatoirement avoir un vécu de cavalier. Il est indispensable que le thérapeute ait éprouvé lui-même toutes les difficultés rencontrées dans la pratique de l’équitation, au niveau de la gestuelle, de l’équilibre, de l’obéissance du cheval ou encore des peurs que peut procurer ce sport. 

Les patients, eux aussi, seront confrontés à ces difficultés. De ce fait, il est très utile que le thérapeute se souvienne de ce qu’il a ressenti et comment il a réagi dans les situations critiques. L’analyse de ces souvenirs s’avère importante pour résoudre les problèmes qui se posent avec les patients ou ceux qui se posent avec le cheval. Grâce à cela, le thérapeute peut trouver une solution afin de débloquer une situation périlleuse. 

Le thérapeute doit également :
– bien connaître le cheval, sa constitution, son fonctionnement physiologique et sa
psychologie ;
– avoir eu des contacts avec de nombreux cavaliers, surtout débutants ;
– savoir faire preuve d’autorité lucide vis-à-vis d’un cavalier ou d’un groupe de cavaliers,
ce qui est différent ;
– connaître les réactions de chaque cheval qu’il utilise. 

• En thérapie avec le cheval, le thérapeute doit maîtriser le domaine pédagogique 

Contrairement à un moniteur d’équitation « classique », le thérapeute ne fera pas qu’instruire ses cavaliers en leur expliquant comment monter et guider un cheval. Il doit davantage enseigner une « manière d’être » qu’une « manière de faire ». Afin d’obtenir une évolution du patient, le thérapeute doit énormément le motiver. Il est nécessaire que celui-ci soit patient et doux, mais ferme lorsque cela s’avère utile. La progression pédagogique va toujours du plus simple au plus compliqué. C’est une ligne de conduite dont il ne faut pas s’éloigner afin de respecter une certaine linéarité de toute méthode d’éducation ou de rééducation. Elle tient compte du point de départ et du but précis à atteindre, le soignant accompagnant véritablement le patient dans ce voyage, ne le précédant que de très peu, afin de garder une certaine dynamique et un désir d’aller « en avant » chez le patient. Cette attitude doit se poursuivre, même durant les moments de régression, avec toute la tolérance que ceux-ci impliquent. 

Pour mieux vous apercevoir de ce que ce travail implique, voici une vidéo particulièrement intéressante que vous pouvez visionner :

Pour conclure, la thérapie avec le cheval offre la possibilité au patient d’évoluer sur le plan physique, en renforçant sa musculature, son habileté et en développant sa gestualité. Sur le plan psychologique, la TAC aide le patient dans sa relation à lui-même ainsi qu’à la société qui l’entoure. Toutefois, il ne suffit pas de mettre une personne atteinte de handicap mental sur le dos d’un cheval pour décréter qu’elle effectue de la thérapie avec le cheval. Il faut distinguer l’amateurisme et le professionnalisme. C’est pourquoi je vous propose ci-dessous un lien menant vers la liste des thérapeutes reconnus dans mon pays, la Suisse : therapiecheval.ch

Mes remerciements s’adressent à l’une d’entre eux, qui, grâce à ses connaissances, m’a permis de réaliser un travail de fin de lycée, qui a été réadapté et étayé afin de rédiger cet article. Je sais que cette thérapeute se basait énormément sur les conseils de Renée de Lubersac, précurseur en matière de thérapie avec le cheval. 

Voici également la liste des psychothérapeutes pratiquant la thérapie avec le cheval en France.

Et vous ? Avez-vous déjà assisté à une séance de thérapie avec le cheval ou à une autre thérapie mettant en scène un autre animal ? N’hésitez pas à nous en faire part !

Renart

Sources images :

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1 réflexion sur “La thérapie avec le cheval dispensée aux personnes atteintes de déficience mentale”

  1. C’est impressionnant de voir que le contact avec un cheval peut autant changer certaines personnes, super intéressant ton article 🙂

     

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