Les bonbons de notre enfance

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Ah les sucreries… Quel enfant n’en est pas fan ? Nous avons tous des confiseries associées à nos tendres souvenirs. Bonbons, chocolats, il y en a pour tous les goûts. Je vous propose à travers cet article de découvrir ceux qui me rendent le plus nostalgique !

La boule de mammouth

De sa vraie appellation « jawbreaker » qui signifie littéralement « casse-mâchoire », ce bonbon se présente sous forme de sphère, plus ou moins grosse, ou d’une petite quille, comportant différentes plusieurs couches à lécher, de couleurs et de goûts différents. En son cœur, se trouve un chewing-gum. Communément appelé « couille de mammouth » par les enfants, c’est un des bonbons les plus dégoûtants à manger ! Pour les boules les plus grosses, qui ne les rangeaient pas dans leur emballage s’il nous était impossible de les finir en une fois ? En y repensant… BEURK !

Le collier de bonbons

L’accessoire favori des petites filles ! Personnellement, j’aimais arpenter ma maison avec mon merveilleux collier… durant quelques minutes, puis finir par le dévorer en quelques instants. Oups ! (I did it again…) Grâce à son élastique et ses couleurs pastels, il restait néanmoins un vrai élément fashion (pour les enfants au mental d’acier bien sûr) !

collier de bonbons

Les Têtes Brûlées

Mes papilles s’émoustillent rien qu’en les imaginant ! Il existe désormais plusieurs goûts pour ces petites boules acides : cola, pomme, fraise, framboise, tropical, et de nouvelles formes (bandes, sucettes). Ce bonbon est déconseillé aux âmes sensibles, cette sensation acide est due à l’acide citrique qui recouvre ces billes.

Têtes Brûlées

Les cigarettes en chocolat

Voici le bonbon d’une autre société, répondant au fort pouvoir de mimétisme. Apparues dans le milieu des années 1960, ces cigarettes nous donnaient l’impression de faire comme les grands ! Malheureusement, le chocolat n’était pas fou, et il ne fallait pas oublier d’enlever le papier avant de les manger… Leurs ventes ont été interdites en 2005. L’Organisation mondiale de la Santé rapporte que « plusieurs études démontrent que les cigarettes en chocolat peuvent induire un comportement mimétique chez l’enfant et peuvent donc doubler la probabilité de voir l’enfant devenir fumeur à l’adolescence et à l’âge adulte, indépendamment du fait que ses parents soient ou non fumeurs ».

cigarettes au chocolat

La soucoupe

Encore des papilles qui s’excitent ! Apparue dans les années 1980, on pouvait trouver dans cette soucoupe, au goût d’hostie, une poudre acidulée. Pour moi, il y avait deux écoles : ceux qui la croquait et ceux qui la laissait fondre. Quelle était la vôtre ?

soucoupes au sucre acidulé

Les tubes à la poudre

Vous aimez les bonbons difficiles à manger ? Moi aussi ! Au début, on croyait qu’il fallait seulement ouvrir la paille et laisser glisser la poudre dans notre bouche… C’était assez utopique ! / Quelle utopie ! Il fallait plutôt couper le plastique avec ses dents pour la manger ! Pourtant, il n’y avait pas plus simple comme composition pour un bonbon : du sucre, des arômes et de l’acide citrique, le tout fourré dans un tube en plastique.

tubes remplis de poudre acidulé

Le Hubba Bubba

Je crois que c’était LE bonbon que l’on glissait tous dans notre cartable, prêt ou non à le partager avec nos camarades préférés ! Bon, soyons honnêtes, on ne leur donnait qu’un petit bout… Fallait pas pousser mémé dans les orties ! Ce chewing-gum américain au goût originel de bubble gum est né en 1979, et fait 6 feet (1,8 mètre environ).

chewing-gum hubba bubba

Le Big Baby Pop

Voici un autre bonbon horriblement dur à faire durer dans le temps : un biberon, une sucette à tremper dans du sucre acidulé au bon goût de cola, de fraise ou de myrtille. On ouvre, on trempe, et ça pique ! Comme le disait la pub dans les années 1990 : « Trempe ta sucette, secoue, c’est cool et ça pétille ! Si t’es pas un bébé, (ajout virgule) essaye ! ».

bonbon big baby pop

Les bonbons à la violette

Si vous me demandez quel est, pour vous, le meilleur bonbon de votre enfance, personnellement je choisirais celui-ci sans hésiter ! Mon grand-père m’en donnait chaque soir après l’école. Son goût fort de violette nous fait immédiatement penser à la belle ville de Toulouse, dont la fleur est l’emblème. Il y a 200 ans, on enduisait les pétales de fleurs de sucre et les cristallisaient afin de les servir comme friandises. Puis, grâce à ce long (3 mois) et fastidieux procédé, est venu le bonbon à la violette, composé de sucre, d’arôme de violette, de citron et de colorants naturels.

bonbons à la violette

Les PEZ

Pour clôturer cet article, voici une confiserie autrichienne qui n’a pas pris une ride (93 ans cette année, s’il vous plaît). On ne le nomme plus : ce réservoir en plastique, à l’effigie de nos personnages de dessins animés préférés, renferme un vrai trésor d’Ali Baba. Il y a en pour tous les goûts ! Les recharges de PEZ, composées d’une dizaine de dragées, peuvent être au goût citron, orange, cola, fraise… D’ailleurs, le saviez-vous ? Le nom PEZ vient de l’allemand « Pfefferminz », qui signifie « menthe poivrée », le premier goût des PEZ.

bonbon PEZ

Et vous, quels sont les bonbons qui ont marqué votre enfance ? Dites-le moi en commentaires !

Amy

Source texte :

– Wikipedia

2 réflexions sur “Les bonbons de notre enfance”

  1. Ha ha, que de souvenirs!
    Je confirme que la « couille de mammouth » est le bonbon le plus répugnant que je connaisse.
    Plusieurs amis de ma soeur ont eu la mononucléose en en partageant une. ?
    Je connaissais les cigarettes sous forme de chewing-gum mais pas en chocolat.
    Sinon, les soucoupes, je les surnommais « la poudre à lessive ». ?
    Les têtes brûlées étaient clairement mes préférés avec les Tiki, ces petites pastilles acidulées qui se vendaient dans des tubes. On les diluait dans de l’eau: ça faisait pshiiit, comme un analgésique. Ou comment faire croire ensuite aux enfants que les médicaments c’est comme des bonbons. ?

     

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