Faire un stage à l’étranger

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Image à la une de faire un stage à l'étranger

Depuis la création du projet ERASMUS en 1987, de plus en plus d’étudiants partent effectuer un semestre ou plus à l’étranger, grâce à des partenariats entre les universités et les écoles de l’Union européenne. Cependant, les programmes d’études ne sont pas le seul moyen de passer quelques mois dans un autre pays. Les stages à l’étranger se sont aussi beaucoup développés et ont pris une place importante dans certains cursus scolaires, notamment dans les écoles d’ingénieur et de commerce.
Vous avez envie de partir faire un stage dans un autre pays et vous avez besoin de conseils ? Dans ce cas, cet article devrait vous intéresser.

Réfléchir à un projet de stage à l’étranger

Définir vos objectifs et vos attentes

Lorsqu’on souhaite faire un stage à l’étranger, la première question à se poser est « pourquoi ai-je cette envie ? ». À première vue, cela peut paraître inutile, mais se poser cette question permet de réfléchir de façon plus posée à ce qu’on attend de notre stage et quelles sont nos motivations, même si cette mobilité à l’étranger nous est imposée dans notre parcours.

Cette première étape vous permettra de bien définir votre projet et vos attentes pour pouvoir mener de façon efficace vos recherches de stage. De plus, vous devrez utiliser ceci pour rédiger des lettres de motivation lorsque vous contacterez des organismes, que ce soit pour trouver votre stage ou pour justifier votre projet lors de vos demandes de bourses par exemple.

Voici des questions auxquelles il est bon de trouver des réponses :
– Quel type de stage est cohérent avec mon parcours ? En quoi va-t-il m’être utile ?
– Quelles compétences ai-je envie de développer ?
– Quels sont les objectifs que je veux me fixer ?
– Quels pays ai-je envie de visiter afin d’en découvrir la culture ?
– Dans quel type de structure ai-je envie de travailler ?

Les trois premiers points sont assez personnels, mais les deux derniers peuvent en partie les conditionner ou répondre à vos objectifs, c’est pourquoi il me semble utile de les détailler.

Dans quel pays aller ?

Pour choisir un ou plusieurs pays où vous aimeriez faire votre stage, les motivations peuvent être diverses. Si vous rêvez depuis longtemps de visiter un pays, le choix sera rapide, mais si ce n’est pas le cas, vous pouvez vous placer du point de vue touristique (ai-je envie de partir loin ? D’être dépaysé ? Quels types de paysages ai-je envie de découvrir ?), culturel (ai-je envie d’aller dans un pays avec une culture radicalement différente de la mienne ?) ou linguistique (quelles langues ai-je envie d’apprendre ou de perfectionner ?).

Livre de voyage

Cependant, bien que les paysages puissent vous faire rêver, il faut savoir aussi garder les pieds sur terre et se renseigner un peu sur le pays visé :
Le niveau de sécurité. Pour cela, vous pouvez consulter le site du ministère des Affaires étrangères et du Développement international. Vous y trouverez des informations détaillées pour chaque pays.
Le niveau de vie. En effet, il faut être conscient de ce qui vous attendra une fois sur place : conditions de vie et d’hygiène, taux de change, coût de la vie…
Le climat. Si vous préférez le froid au chaud, il est évident que les pays d’Afrique ne vous offriront pas un climat très agréable. Faire un stage à l’étranger implique souvent de rester pour une période assez longue dans un pays, il faut donc savoir à quoi s’attendre ! Ce point est aussi important si vous n’avez pas le choix de la période pendant laquelle vous allez effectuer votre stage. Par exemple, la saison des pluies en Asie du Sud-Est s’étend de juin à octobre et ce n’est pas le moment le plus propice au tourisme…

Dans quel type de structure effectuer son stage ?

Selon vos objectifs, il est important de déterminer quels types d’organismes vous recherchez.

Si vous souhaitez privilégier le côté humain, mener une action utile et dépasser vos limites, faire un stage humanitaire est une expérience très enrichissante et intense. Pour cela, vous pouvez contacter des ONG ou des associations. Voici deux répertoires des ONG : portail-humanitaire.org et repertoireong.org, ce deuxième étant consacré à l’Afrique. Attention cependant : certaines associations peuvent vous demander de participer aux frais sur place, mais aussi de verser une avance. Renseignez-vous bien sur les actions menées et les modalités d’inscription et n’hésitez pas à fouiller le Net à la recherche de témoignages, car il existe malheureusement des arnaques… Il vaut parfois mieux privilégier les associations près de chez vous, dont vous pourrez rencontrer les acteurs et discuter avec eux.

Si votre principal objectif est de gagner de l’expérience professionnelle, un stage en entreprise ou dans un laboratoire vous conviendra parfaitement. Les stages de recherche dans un laboratoire universitaire ou dans un institut national sont souvent plus faciles à décrocher qu’un stage en entreprise, mais ils sont rarement rémunérés. Toutefois, si vous avez de la chance, vous pourrez peut-être bénéficier d’avantages en nature : un logement sur place, un moyen de locomotion (voiture, vélo…), etc. Faire un stage dans un laboratoire de recherche vous permettra aussi de rencontrer des gens de nationalités différentes et de côtoyer des personnes en général très à l’aise en anglais. De son côté, le stage en entreprise a pour intérêt principal son côté très professionnalisant : vous vous immergez complètement dans la vie active ! Si vous décrochez un stage dans une grande entreprise (voire une multinationale !), c’est également un très bon atout sur votre CV.

Etudiante travaillant avec un microscope

Maintenant que vous vous êtes fait une idée plus claire sur le stage de vos rêves, il est temps de partir à sa recherche.

Rechercher un stage à l’étranger

Préparer son CV

Que vous contactiez un organisme de façon spontanée ou en répondant à une offre de stage, dans tous les cas, il vous faut un CV à jour et une lettre de motivation.

Si vous n’avez jamais fait votre CV en français, c’est le moment de vous lancer ! Il vous servira si vous cherchez un stage dans un pays francophone, mais cela vous permettra également de réfléchir à la construction de votre CV et à son contenu, avant de songer à le traduire. Vous ne savez pas trop comment vous y prendre ? Voici un article qui vous donnera des conseils judicieux : Comment-faire-bon-curriculum-vitae.

Si vous vous rendez dans un pays non francophone, il est nécessaire de traduire votre CV au minimum en anglais. Attention : il faut vous renseigner sur les spécificités des CV dans les différents pays afin de ne pas commettre d’impair ! Par exemple, si vous cherchez un stage aux États-Unis, il ne faudra en aucun cas mettre votre photo, votre date de naissance, votre statut marital et votre nationalité, éléments assez courants sur un CV français ! En revanche, ces informations sont impératives sur un CV allemand. De plus, il est bien vu de personnaliser votre CV américain ou britannique selon l’entreprise ou l’organisme que vous contactez, en ajoutant une partie où vous présenterez de façon concise vos objectifs par rapport à ce stage.

Enfin, si vous souhaitez faire un stage dans un pays dont vous connaissez la langue (même de façon modeste), n’hésitez pas à faire l’effort de traduire votre CV et votre lettre de motivation dans la langue du pays ! En effet, cela constitue un bon atout pour vous, car aux yeux de votre potentiel maître de stage, cela montre que vous vous intéressez vraiment à son pays, à sa langue et à sa culture.

Préparer ses lettres de motivation

Passons maintenant à la lettre de motivation. Contrairement au CV, il vaut mieux l’écrire directement en anglais (ou dans une autre langue), plutôt que de la rédiger d’abord en français puis la traduire. Cela évite de faire des phrases trop compliquées à traduire et de laisser des tournures trop françaises. En outre, le recruteur qui lira votre lettre sentira davantage l’effort que vous avez mis pour rédiger avec votre niveau (on n’attend pas de vous d’écrire comme Shakespeare ou Goethe !), plutôt que d’avoir traduit des phrases à l’aide d’un traducteur sans réfléchir réellement à la grammaire de la langue. Dans tous les cas, essayez de demander à quelqu’un de vérifier votre lettre de motivation.

Les règles en matière de lettre de motivation sont sensiblement les mêmes d’un pays à l’autre, toutefois, essayez de trouver des modèles pour être sûr de rédiger correctement, notamment les formules de politesse propres à chaque langue.

Si vous cherchez un stage dans une entreprise, il est préférable de personnaliser votre lettre de motivation, afin d’augmenter vos chances. Si vous souhaitez contacter différents types d’organismes, dans ce cas, il est utile d’avoir plusieurs lettres types, par exemple une pour les entreprises, une pour les centres de recherche et une pour les associations. En effet, les compétences et les motivations que vous mettrez en avant peuvent dépendre du contexte de travail, qui varie selon les structures.

Rechercher un stage à l’étranger

Ça y est ! Vous avez fait toutes les étapes préparatoires, il faut passer maintenant à la partie décisive : trouver un stage.

Si vous souhaitez trouver une offre de stage déjà établie, vous pouvez consulter les sites des entreprises ou des associations. Si vous cherchez une mission plutôt humanitaire ou solidaire, songez au service civique ! Ce dispositif français, créé en 2010, vous propose des actions auprès d’associations ou de collectivités, en France ou à l’étranger, de six à douze mois, en vous apportant un soutien financier. Vous pouvez consulter les offres sur ce site : service-civique.gouv.fr/missions/.

Si vous préférez envoyer des candidatures spontanées, il vous faut trouver des personnes à contacter. Pour trouver des entreprises dans un domaine particulier, il existe des annuaires sur Internet, comme Kompass et Europages. Si vous cherchez plutôt un stage de recherche, vous pouvez éplucher les sites des instituts nationaux de recherche ou des universités. Vous trouverez facilement les coordonnées de chercheurs, c’est en partie pour cela qu’il est plus facile de décrocher un stage de recherche, puisque vous pourrez les contacter directement, alors que sur les sites des entreprises, il n’y a souvent qu’une adresse de contact impersonnelle.

Enfin, un des meilleurs moyens est d’utiliser les réseaux qui sont à votre disposition : l’annuaire des anciens de votre école, la liste des césures et/ou des stages faits à l’étranger par vos prédécesseurs, le bouche à oreille… Cela permet d’obtenir plus facilement des contacts, d’avoir un retour sur le stage effectué, et surtout, vous pouvez donner le nom d’un ancien stagiaire dans votre lettre de motivation ! Si le stage s’est bien passé, le recruteur va peut-être se rappeler de cette personne et va porter plus d’attention à votre candidature, notamment si vous venez de la même école ou université.

Réseau de personnes autour du monde

Prenez-vous y à l’avance pour envoyer vos candidatures, car il est parfois long d’obtenir des réponses et de trouver un stage. Ne désespérez pas si vous recevez peu de réponses et/ou que des refus, continuez à envoyer votre candidature et à ratisser plus large lors de vos recherches.

Une fois que vous aurez eu le soulagement de décrocher un stage, l’affaire sera loin d’être finie ! Passons à l’étape suivante : la préparation de votre voyage.

Préparer son stage à l’étranger

Établir un budget prévisionnel

Partir à l’étranger peut être coûteux, il faut donc être conscient de la somme que cela va représenter. Il est important d’établir un budget prévisionnel avant de partir, en vous renseignant sur le coût de la vie pour avoir une idée du loyer, de la nourriture et des transports par exemple. Le prix des vaccins, du visa, de l’assurance maladie, des billets d’avion ou de train doivent être pris en compte, tout comme l’argent que vous consacrerez à vos loisirs (sorties, restaurant, bar, cinéma…), à l’habillement, à l’ameublement ou à l’équipement (si vous partez par exemple dans un pays montagnard ou en Laponie, il vaut mieux avoir des tenues adaptées !)… et il faut rajouter à tout cela une marge « de risque », en cas de problème, car il y a toujours des imprévus lorsqu’on part dans un pays étranger ! Pour certains éléments, vous ne pourrez faire qu’une estimation. Dans ce cas, n’hésitez pas à voir large : il vaut mieux prévoir un budget conséquent et avoir la surprise de dépenser moins que prévu, que l’inverse…
Pour certains visas, il vous sera même exigé d’avoir une certaine somme d’argent sur votre compte.

Maintenant que vous avez fait la liste des dépenses envisagées, il faut pouvoir compenser cette somme ! Dans un premier temps, vous devez faire un budget sans prendre en compte les bourses et les aides que vous espérez obtenir, car vous n’avez peut-être pas la certitude de les avoir, et surtout, les bourses sont souvent versées tardivement. Or, lorsqu’on part à l’étranger, le plus gros des dépenses se fait avant le départ et à son arrivée, lors de son installation sur place ! Il faut donc pouvoir compter sur de l’argent disponible immédiatement : une épargne, une aide de vos parents, éventuellement un prêt… quitte à rembourser tout le monde après avoir obtenu les bourses espérées. Ne vous mettez pas dans une situation délicate en ayant peu d’argent devant vous, c’est le meilleur moyen d’attirer les problèmes…

Billets d'euros

Démarches administratives avant un départ à l’étranger

Faire un stage à l’étranger implique des démarches administratives plus ou moins lourdes et longues selon le pays où vous vous rendez.

La convention de stage

Tout d’abord, vous devez établir une convention de stage en trois exemplaires, signée par les trois parties : vous, l’établissement d’accueil et votre école/fac. Faites cela le plus tôt possible, car les documents doivent être originaux et donc voyager entre vous, votre établissement et votre lieu de stage.

Le passeport et le visa

Si vous restez dans l’espace Schengen, votre carte d’identité est suffisante. Au-delà, vous devez avoir un passeport en cours de validité. Le passeport est délivré par votre pays de citoyenneté. Si vous êtes Français, vous pouvez donc le demander auprès d’une mairie, d’une préfecture ou d’un consulat si vous êtes à l’étranger. La demande de visa est à effectuer auprès du pays d’accueil. Il faut faire très attention aux délais et aux conditions d’obtention. En effet, il peut vous être refusé ! Là encore, faites les démarches le plus tôt possible pour demander votre passeport et votre visa, cela peut mettre du temps. À titre informatif, un passeport français coûte 86 €. Le prix d’un visa est très variable selon les pays et le type de visa demandé.

Passeport

Les assurances

Parlons maintenant des assurances. Si vous restez dans l’Union européenne, vous devez faire la demande de la carte européenne d’assurance maladie auprès de votre caisse. Cette carte est gratuite et valable pendant un an. Il vous suffira de la présenter aux professionnels de santé en cas de besoin. Si vous vous rendez dans un autre pays, il existe des assurances maladie spéciales, renseignez-vous auprès de votre caisse. Il est utile aussi de contacter votre assureur et votre banque afin de les prévenir que vous vous rendez à l’étranger. Des assurances particulières peuvent vous êtes proposées ou être déjà comprises dans vos contrats existants, comme par exemple la responsabilité civile.

Banque et frais bancaires

En ce qui concerne la banque, cela est doublement utile de la prévenir, car elle peut éventuellement bloquer votre compte par mesure de sécurité si les opérations bancaires ont lieu à l’étranger : votre carte aurait très bien pu être volée…

Assurez-vous que vous ne serez pas gêné par les plafonds de retrait et de payement, car dans certains pays vous devrez surtout payer en liquide et donc retirer beaucoup d’argent d’un coup.

Enfin, consultez les tarifs en matière d’opérations bancaires à l’étranger (virement, payement et retrait par carte…) afin de ne pas avoir de mauvaises surprises sur votre relevé de compte. En effet, en dehors de la zone euro, les frais de change dus à la conversion dans une autre monnaie peuvent être pris en charge par votre banque selon les options que vous choisirez. Notez qu’il existe deux types de frais : ceux découlant d’un retrait et ceux liés à un payement par carte bancaire. Comparez les offres dites « jeune » ou « international » et assurez-vous d’avoir une carte internationale.

Si vous devez ouvrir un compte dans un autre pays, la même prudence doit être de mise. Lisez bien les termes du contrat et n’hésitez pas à comparer les offres entre les différentes banques.

Autres démarches importantes

Avant de partir, pensez à être à jour dans vos vaccins et à faire ceux manquants. Pour connaître les vaccins obligatoires selon les pays, consultez le site du ministère des Affaires étrangères.

Pour pouvoir conduire dans un autre pays, il faudra demander un permis international auprès de votre préfecture. Cela peut prendre quelques semaines. À l’étranger, vous devrez présenter le permis international et le permis français.

Pour finir, vous pouvez signaler au ministère des Affaires étrangères que vous quittez le pays. La déclaration se fait en ligne sur ce site. Cela vous permettra d’être tenu informé en cas de crise dans le pays d’accueil.

Faire des demandes de bourses de mobilité

Il existe différents types de bourses de mobilité. Les plus courantes sont les suivantes :
La bourse de mobilité du CROUS. Elle est versée uniquement aux boursiers sur critères sociaux.
– La bourse ERASMUS-Stage. Les conditions d’éligibilité sont assez strictes et la démarche est assez lourde, il faut bien vous renseigner et envoyer votre dossier le plus tôt possible. Voici quelques informations concernant les modalités.
– Les bourses de mobilité versées par votre université/école et votre région (d’origine ou d’accueil).
– Le Service Civique. Pour plus d’informations, rendez-vous sur ce site.
– Le VIE (Volontariat International en Entreprise). Il vous apporte un soutien financier à condition que vous effectuiez votre stage à l’étranger mais dans une entreprise française. Vous trouverez des renseignements ici.

Il peut y avoir des aides de la part de votre département et/ou de votre commune, n’hésitez pas à chercher des informations sur Internet ou à vous rendre en mairie. Enfin, certains organismes, tel que l’OFAJ (Office Franco-Allemand pour la Jeunesse), versent aussi quelques bourses, dans cet exemple-ci lors de certains stages en Allemagne.

Toutes ces bourses ne sont pas toujours cumulatives, faites attention aux modalités propres à chacune.

Remplissez vos dossiers le plus tôt possible, les démarches sont souvent longues. Il vous sera demandé des pièces justificatives, telle que la copie de votre convention de stage ou une validation par votre établissement. Enfin, pour certaines demandes, il vous faudra fournir un budget prévisionnel pour vérifier que votre projet est viable.

Partir à l’étranger l’esprit tranquille

Vous allez arriver dans un pays que vous ne connaissez pas, généralement. Cela engendre toujours une part de stress. Néanmoins, il est possible de la réduire.

Tout d’abord, assurez-vous d’avoir un logement sur place dès votre arrivée. Devoir en trouver un en urgence est une source de stress conséquente ! Si votre organisme d’accueil vous fournit un logement, vous êtes dans une situation idéale, mais dans le cas contraire, parcourez les annonces sur Internet pour trouver une colocation, un studio ou une place comme jeune fille/homme au pair. Faites attention aux offres de sous-location : assurez-vous qu’il s’agit d’une pratique légale et que le propriétaire est au courant. Cela vous évitera des ennuis !

Pensez aussi à vous renseigner sur les transports en commun (tarifs, abonnements, lignes), afin de savoir comment vous rendre sur votre lieu de stage.

Enfin, pensez à prendre vos billets d’avion ou de train en avance, pour ne pas payer le prix fort au dernier moment.

Avion

Voilà, vous êtes enfin prêt à embarquer ! Sur place, profitez bien de votre séjour. N’hésitez pas à prendre des photos et des notes sur les tâches que vous effectuerez pendant votre stage. Cela vous sera utile si vous avez une restitution à faire après votre séjour. Attention : il peut exister des clauses de confidentialité, surtout si vous faites un stage en entreprise et en recherche !
Lorsque le retour sera proche, n’oubliez pas de faire remplir par l’établissement d’accueil les attestations de fin de séjour, pièces souvent nécessaires pour vos dossiers de bourses. Enfin, demandez une recommandation auprès de votre maître de stage, cela peut vous être utile lors d’une future recherche de stage ou d’emploi.

Avec tous ces conseils, j’espère que votre séjour à l’étranger se passera à merveille ! Avez-vous déjà fait un stage dans un autre pays ou envisagez-vous de le faire ? N’hésitez pas à parler de votre expérience dans les commentaires.

Sonatine

Sources texte :

Wikipédia
Europa.eu
Site du ministère des Affaires étrangères
Le guide du stagiaire
– Site du service public : 1, 2
Site du service civique

Sources des images :

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Image 2 : Image utilisée avec l’aimable autorisation de Photokanok, tirée du site FreeDigitalPhotos.net

Image 3 : Image utilisée avec l’aimable autorisation de renjith krishnan, tirée du site FreeDigitalPhotos.net

Image 4 : Photos Libres

Image 5 : Image utilisée avec l’aimable autorisation de James Barker, tirée du site FreeDigitalPhotos.net

Image 6 : Image utilisée avec l’aimable autorisation de arztsamui, tirée du site FreeDigitalPhotos.net

1 réflexion sur “Faire un stage à l’étranger”

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