Journal d’une future maman

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De la conspiration imaginée par Florence Foresti aux différentes informations que vous avez pu récupérer auprès de vos amies ou des femmes de votre famille, que l’on veuille ou non des enfants, la grossesse reste un mystère à part entière. Entre ce que vous avez lu, ce que vous avez entendu et vos propres angoisses et interrogations, vous ne savez plus quoi penser de cette expérience ? En tant que future mère, je vous propose de partager mes impressions sur cette aventure magique qu’est la grossesse.

Les premières impressions

Vous et votre conjoint avez décidé de passer à l’acte, et cette fois, le processus de reproduction est en cours ! Vous savez pertinemment qu’il est encore beaucoup trop tôt pour savoir si votre utérus va abriter un futur Junior, mais vous ne pouvez vous empêcher de vous poser la question : est-ce que cette fois, c’est bon ? Tous les médecins vous diront que moins on y pense, mieux on réussit. Toutes les futures mères vous expliqueront qu’on a beau dire tout ce qu’on veut, on ne pense qu’à ça. On en devient presque obsédée. On est à deux doigts de faire le test de grossesse directement en sortant du lit ! Pourtant, on sait très bien que ça ne sert à rien et qu’il faut attendre quelques jours après le début théorique des règles pour être sûr qu’on ne fausse pas les résultats. D’un autre côté, je vous mets au défi de raisonner une femme sous l’emprise de ses hormones !

Je vous passe sous silence les semaines interminables à guetter avec angoisse le débarquement d’une potentielle rougeur dans le sous-vêtement pour arriver au moment tant attendu. Vous ne voulez rien précipiter, car vous savez qu’un test effectué trop tôt peut être faussé. Mais grâce à l’application téléchargée sur votre smartphone, vous savez que vous avez du retard.

Et puis l’espoir fait vivre : si vous avez du retard, c’est peut-être que Junior commence à faire son nid.

Personnellement j’ai attendu trois jours, après je n’en pouvais plus. J’ai délégué mon homme pour aller acheter un test de grossesse dans une pharmacie à l’autre bout de la ville afin de préserver mon intimité, car je me voyais mal demander à ma pharmacienne : « Du sirop pour la toux et un test de grossesse s’il vous plaît ! ». Une fois l’homme rentré à la maison avec le précieux test, commence l’étude de la notice : il ne s’agirait pas de se faire une fausse joie ou une fausse déception parce qu’on ne sait pas comment fonctionne cette petite bête. Passée la première angoisse de « Est-ce que j’ai bien fait comme il fallait ? », commence la minute la plus longue de votre vie. Pour ma part, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder cette satanée bandelette toutes les trois secondes. Et puis d’un coup, les deux bandelettes espérées sont apparues. Et là, on a beau avoir lu des tonnes de témoignages, être sûre d’avoir fait tout ce qu’il fallait, vouloir un bébé plus que tout, on est quand même sonnée. Alors ça y est ? Ces deux petites bandelettes un peu pâlottes là, ça veut dire que Junior s’est accroché à mon utérus ? Honnêtement, on n’y croit pas. Mais on veut y croire. Du coup, second réflexe : faire LA prise de sang. Infaillible, c’est elle qui va vous confirmer la présence de Junior. Heureusement pour moi, mon médecin avait anticipé le coup et m’avait fourni une ordonnance la dernière fois que j’étais allée chez elle. Ni une ni deux, je fonce au labo me faire piquer. Et l’attente recommence…

Un haut pour femme enceinte plutôt original

Si j’avais un conseil à vous donner en cas de grossesse, ce serait de vous armer de patience. Je ronge mon frein, je suis à l’écoute de tout ce qu’il se passe dans mon corps, mais rien n’y fait : aucune sensation bizarre, je me sens parfaitement normale. Pas la moindre petite nausée à l’horizon. À ce moment-là, on se dit que finalement le test nous a raconté n’importe quoi, que ce n’est pas possible, mais on y croit quand même : bienvenue dans le monde des contradictions de la femme enceinte. Ce n’est pas la première ni la dernière que vous rencontrerez au cours des neuf prochains mois ! Finalement, vos résultats tombent au labo : votre stock de patience est épuisé, et, comme moi, vous ouvrez l’enveloppe directement dans la voiture. Mon homme ne tient plus en place, et nous voilà comme 2 imbéciles à avoir peur d’on ne sait trop quoi. Prenant mon courage à deux mains, je décolle précautionneusement l’enveloppe pour ne pas déchirer le papier se trouvant à l’intérieur, et nous découvrons ensemble les résultats : je suis enceinte de quatre semaines. Décrire ce que nous pouvons ressentir à ce moment-là n’est pas possible. Les mots ne sont pas à la hauteur de la vague d’émotions contradictoires (encore une fois !) qui nous submerge. Tout d’abord, c’est la joie : enfin ! Junior est là, c’est écrit sur le papier, noir sur blanc, et nous avons même son âge. Puis c’est l’angoisse : est-ce que je vais réussir à le garder jusqu’au bout ? Ne va-t-il pas me fausser compagnie en cours de route ? Est-il à la bonne place ? Ce morceau de saucisson que j’ai dégusté la semaine dernière de manière complètement irresponsable ne va-t-il pas provoquer des lésions irréversibles sur le petit être qui grandit déjà en moi ? Comme vous pourrez le constater par la suite, la femme enceinte est habitée par des angoisses qui ne sont absolument pas rationnelles. Mais n’essayez pas de les chasser, car de toutes les manières, vous n’y arriverez pas (ou alors je n’ai pas eu la bonne méthode dans ce cas, merci de me l’indiquer en commentaire, ça m’aidera pour la suite !). Après l’angoisse, vient la vague de tendresse et d’amour : dit comme ça, ça fait très cucu la praline, mais ce petit être, vous l’aimez déjà.

Mon médecin, toujours très attentive à la stressée que je suis, m’a prescrit une première échographie : « Pas la peine de vous laisser trop vous attacher s’il n’est pas implanté au bon endroit ». En plus des angoisses évoquées ci-dessus, il se peut que Junior ait choisi une trompe à la place de votre utérus plutôt douillet. Du coup, c’est l’heure de la première échographie. Alors là, croyez en mon expérience, je peux vous dire que tout ce que vous avez éprouvé jusque-là, c’était du vent à côté de ce qui vous attend : vous découvrez sur l’écran en face de vous une sorte de petit haricot blanc. Rien de bien bouleversant me direz-vous. Et bien si (et pas uniquement à cause de vos hormones qui bouillonnent), parce que vous découvrez que, sur ce mini-haricot, clignote une petite lumière blanche ; et quand la sage femme vous explique que d’une part, Junior est bel et bien là, autrement dit, que vous n’avez pas un œuf clair (= non fécondé), qu’il est bien lové au chaud dans votre utérus, et que d’autre part, ce que vous voyez qui clignote c’est son cœur, vous êtes submergée par les émotions. Alors quand elle vous le fait écouter, là, c’est carrément l’orgie hormonale ! Vous sentez que vous allez pleurer, vous avez des picotements dans le nez, vous ne voulez pas pleurer, mais en fait vous pleurez déjà : quelques larmes viennent perler à vos yeux, avant même que vous ayez pu les retenir. Certains médecins préfèrent attendre la première échographie obligatoire (durant le premier trimestre) pour vérifier que la grossesse n’est pas extra-utérine. Personnellement, je bénis mon médecin de me l’avoir faite faire avant. On a beau dire, plus le temps passe, plus vous vous attachez à votre haricot et aux changements qu’il entraîne chez vous.

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La grossesse, un état de stress pire que la veille des examens

Passé l’émerveillement de la découverte de votre état, vous allez vous faire rattraper assez brutalement par la réalité. Premier dilemme : le choix de la maternité. Je vous entends déjà me dire : « Quoi ? Déjà ? ». Eh oui déjà… car c’est un choix crucial : quelles sont les maternités proches de chez moi ? Sont-elles en mesure de nous offrir, à Junior et à moi, tout le soutien et tous les soins nécessaires en cas de problème ? Car même si depuis la prise de sang, vous planez dans le monde des Bisounours, sachez que chaque grossesse est unique et que chaque femme la vit différemment. Si votre grossesse est à risque, choisissez une maternité de niveau 2 : maternité qui possède un service de néonatalogie ou de soins intensifs néonatals sur place ou à proximité. Elles peuvent accueillir des enfants prématurés qui ont besoin de soins, mais pas de prise en charge lourde, notamment sur le plan respiratoire. Vous pouvez aussi opter pour une maternité de niveau 3 : maternité qui possède un service de réanimation néonatale et qui est spécialisée dans le suivi des grossesses pathologiques ou multiples. Sinon, vous pouvez vous permettre de choisir la maternité la plus proche de chez vous. Premier moment de panique : comment savoir si ma grossesse est à risque ? Si votre médecin ne vous le dit pas, les personnes de la maternité que vous allez appeler vont vous poser des questions sur votre état de santé et elles vous informeront des risques potentiels liés à votre grossesse, risques pouvant nécessiter des examens supplémentaires. C’est le cas, par exemple, si la future maman a des antécédents familiaux de malformation, de maladie ou tout simplement, si elle-même est à un âge avancé, qu’elle souffre d’obésité, qu’elle a des malformations utéro-vaginales, etc. Deuxième question qu’on va vous poser : souhaitez-vous que votre suivi de grossesse soit fait par un médecin ou par une sage-femme ? Un médecin vous oblige à aller à l’hôpital et sera préférable si votre grossesse est à risque. Si vous n’avez pas de soucis, vous pouvez tout à fait faire votre suivi avec une sage femme. Je vous vois déjà vous interroger au sujet de ce fameux suivi gynécologique ! Concrètement, il s’agit d’un rendez-vous mensuel où une sage femme va vérifier l’état de votre col de l’utérus, vous faire écouter les battements du cœur de votre bébé et inspecter votre ventre : Junior est-il bien placé compte-tenu de l’avancement de la grossesse ?

Une fois le choix de la maternité fait, il faut inscrire Junior à la crèche. Il faut savoir que toutes les institutions liées à la maternité et à la petite enfance sont prises d’assaut. Personnellement, j’ai fait les démarches de crèche en mars (pour un accouchement prévu fin août) et on m’a plus ou moins demandé si je n’étais pas un peu irresponsable de m’y prendre aussi tard… Sachez de toute façon que cela dépend beaucoup des régions dans lesquelles vous habitez et que la crèche n’est pas forcément la solution que vous souhaiterez adopter. Vous pouvez tout à fait le faire garder par une assistance maternelle agréée ou par une garde à domicile. Dans tous les cas, voici mon conseil : entre les déductions d’impôts, les contraintes liées au fait d’être l’employeur et les coûts de garde, achetez du doliprane en grosse quantité, vous en aurez besoin.

Mais il n’y a pas que ça. Le fait d’annoncer à vos proches que vous attendez un enfant peut se révéler être source de stress. Déjà, à qui choisirez-vous de l’annoncer en avant-première, et avec qui devrez-vous tenir votre langue jusqu’à la fin des trois mois fatidiques ? Chacun est libre de faire comme il le sent. Pour ma part, mon chéri et moi avons choisi de mettre au courant uniquement nos parents respectifs. La deuxième question qui survient est comment l’annoncer ? Préférez-vous face à face ou par téléphone ? Moi, j’étais super impatiente, mais je tenais absolument à ce que ce soit fait en visu. Concernant mes parents, comme c’était l’époque de Noël, ils ont eu pour cadeau un petit livre pour enfant intitulé Petit Ours Brun chez ses grands parents. Ils ont compris tout de suite ! Mais le silence des premières semaines a été difficile, surtout quand j’avais ma mère au téléphone qui me demandait « Et toi, quoi de neuf ? » et que je m’entendais répondre d’un air faussement blasé : « Ben rien », alors que je mourrais d’envie de lui dire : « Tu vas être mamie ».

Quoi de mieux que ce bandeau de grossesse des plus héroïque?

La crèche ? Check. La maternité ? Check. Les parents ? Check.

Il ne reste plus que le difficile choix de l’annoncer à l’employeur et aux organismes chargés de vous aider à gérer tout ça. Concernant l’employeur, il n’existe pas de loi vous imposant de déclarer votre état à une date précise. Néanmoins, les entreprises préconisent un délai de trois mois : vous êtes plus sereine, car les trois premiers mois fatidiques sont passés, et cela laisse le temps à votre entreprise de pallier votre absence prévisionnel pour congé maternité qui débute environ six semaines avant la date présumée de l’accouchement. Pensez à vous renseigner, notamment sur votre convention collective, car le délai préconisé par votre entreprise peut être d’un autre ordre. Pour ma part, je devais les prévenir au minimum 3 mois avant le début de mon congé maternité. Concernant la CAF (caisse d’allocation familiales), vous devez avoir déclaré votre grossesse aux alentours de la première échographie (un peu avant les trois mois réglementaires) afin de bénéficier des conseils et des remboursements de vos frais de santé.

Les petits bonheurs de la grossesse

Une fois le stress des formalités administratives redescendu, vous pouvez enfin profiter de votre grossesse. Concrètement, que ressent-on quand on attend un enfant ? Je ne vais pas prétendre à l’exclusivité des sensations, je vous rappelle que chacune d’entre nous vit sa grossesse différemment. Mais je vais tenter de vous faire partager mon ressenti personnel au fil des mois.

Lorsque j’ai appris que j’étais enceinte, j’étais tellement stressée à l’idée de perdre Junior que je n’ai profité de rien durant les quatre premiers mois. Chaque nouvelle douleur même légère et passagère devenait une source d’angoisse incommensurable. Chaque repas amenait son lot de questionnement : est-ce que je peux manger sans risque ? Est-ce que ce délicieux fromage qui excite si fort mes papilles est bien pasteurisé ? Pour prévenir ce genre d’angoisse, sachez que dès l’instant où les aliments ont été surgelés, les bactéries sont mortes et ne peuvent plus faire de mal à Junior. Quant aux douleurs, c’est normal : dans les premiers mois de grossesse, notre corps se transforme pour accueillir Junior et lui faire le plus d’espace possible. Donc, peu importe ce que vous ressentez, Junior fait de la place (même s’il est tout petit !) : notre utérus se développe pour lui permettre d’être à son aise, et tout ce qui l’entoure doit se réorganiser autrement. Les seules douleurs qui doivent vous inquiéter sont des pertes de sang ou de la fièvre. Mais assez parler de désagréments, ce n’est pas l’objet de ce paragraphe.

En dehors de mon stress, les quatre premiers mois ont surtout été synonymes de fatigue. Pas de nausées, pas de vomissements, mais une fatigue tenace qui m’obligeait à me coucher tôt le soir et me lever tard le matin, sans compter les régulières nuits de 12 ou 13 heures le week-end. Et puis, est arrivée la visite gynécologique du quatrième mois où le docteur m’annonce que je peux commencer à le sentir. Toutes les sensations que j’avais mise de côté, car identifiées comme non graves pour Junior sont revenues en force. Le moindre petit truc senti au niveau de mon ventre me faisait me poser la question : c’est Junior que je sens ? Ou est-ce que c’est juste les battements de mon cœur dans mes artères utérines ? Car bien évidemment, je me suis demandée ce que ça faisait de le sentir bouger. J’ai lu beaucoup de descriptions semblables, à savoir comme des petites bulles qui viennent éclater à la surface du ventre. Moi, je n’ai jamais senti de bulles, mais plutôt comme un battement de cœur très irrégulier. La première fois que ça m’est arrivé, j’étais dans le TER et heureusement que je descendais à l’arrêt suivant, car je devais avoir l’air d’une folle en train de sourire bêtement, la main posée sur mon ventre et les yeux humides. Car,  jusqu’à présent, j’ai omis que l’une des plus merveilleuses joies de la grossesse, c’’est notre capacité à pleurer pour tout et n’importe quoi, devant n’importe qui et n’importe où. Par exemple, il m’est arrivé de fondre en larmes comme si le plus gros malheur du monde m’était tombé dessus parce que mon homme avait décongelé toutes les merguez et non une partie. Tragique, n’est-ce pas ?

Pour en revenir à l’essentiel, comment ai-je su que c’était mon bébé qui bougeait ? Je ne sais pas. L’instinct peut-être, mais aussi le fait que cette sensation se produisait de manière complètement aléatoire et très rarement. Mais rassurez-vous, durant les mois qui suivent, vous le sentirez de plus en plus, et ça va très vite. Les coups ne sont pas douloureux, juste surprenants. En effet, vous ne pourrez jamais savoir quand Junior va décider qu’il n’a pas assez de place. Je ressens toujours autant de surprise et de plaisir, et pourtant, ça fait un bon mois que Junior s’agite. J’aime également passer du temps le soir ou le matin, à regarder mon ventre bouger. Quand Junior me met un coup (il est trop tôt pour identifier s’il s’agit d’un coup de genou, de pied ou de poing !), il m’arrive, certaines fois, de voir mon ventre se déformer de manière légère et rapide. C’est très émouvant d’une part pour nous, futures mères, mais aussi pour le futur papa. Cela lui permet de sentir les coups (le papa ne les sent qu’environ deux à trois semaines plus tard par rapport aux premières sensations de la maman), mais aussi de les voir et rend ainsi la grossesse plus réelle pour lui. N’oublions pas que Junior est 24/24h avec nous, ce qui n’est pas le cas pour le papa. Ce matin, mon ventre était particulièrement lourd du côté gauche : j’admets que cela fait un drôle d’effet quand son propre ventre est de travers, mais quel bonheur de sentir ce petit être bouger en nous.

Nourrisson dans les mains de ses parents

Bref vous l’aurez compris, la grossesse est une merveilleuse période, ponctuée de doutes et de stress, mais également de beaucoup de bonheur et d’émotions. Et vous, que pensez-vous de la grossesse ? Envisagez-vous d’avoir des enfants ? Avez-vous des peurs particulières ?

Shini

14 thoughts on “Journal d’une future maman”

  1. Ca donne envie d’avoir des enfants tout ça ! Très bel article ! Pour ma part, j’espère en avoir dans une dizaine d’année, une fois que j’aurais un boulot stable, une voiture et un foyer assez chaleureux pour y accueillir un enfant.
    J’ai peur de devoir accoucher par césarienne… et de devenir stérile à la suite d’un accident, d’une maladie ect…
    En tout cas, j’ai beaucoup aimé ton article, chère future maman !

     
  2. Pattenrond

    Très joli article, j’espère que tout se passera bien pour Junior et sa maman 🙂

     
  3. Je suis fan de cet article ! C’est une belle aventure que tu nous fais partager là ! Merci !

     
  4. Super cet article, ça donne à la fois très envie et pas du tout… On doit vraiment se poser 10.000 questions quand on attend un gosse, dont 99% inutiles lol, et puis je suis déjà bien assez émotive et stressée comme ça… Mais quel bonheur ça doit être également !
    Merci pour ce témoignage 🙂

     
  5. Je veux un ti bébééééééééééé

    En tout cas, j’ai bien aimé ton article 🙂

     
  6. J’suis ravie que ça vous ait plus !
    @Den : moi aussi, je suis assez perturbée par l’idée d’une césarienne, j’espère bien que Junior sera dans le bon sens ! Et puis tu sais, au final, on veut tjr ce qu’il y a mieux pr son enfant mais y’a vraiment moyen d’y arriver sans avoir tout ça. Parfois, la vie décide autrement ^^

     
  7. Ouaiiiis depuis le temps que je voulais lire cet article 😀
    Il est super chouette, merci Shini de nous faire partager tout ça ! 🙂
    Bientôt une suite sur l’accouchement peut-être ?

     
  8. Génial ton article ma shini, j’ai vraiment vécu ton histoire et mon envie d’avoir un bébé se décuple !!! j’espère que dans 1 an je serais dans la même situation que toi 😉

     
  9. bon billet pour les mamans et les futures mamans qui doivent passer ce cap. Je pense qu’il est très difficile de patienter pour savoir si oui ou non on est enceinte même si c’est le désir le plus fou d’une femme, mais c’est nécessaire. Quand la patience et l’absence de stress sont au rendez-vous, on a mille chance de voir un fœtus se développer dans notre ventre.

     
  10. Je l’espère aussi PA <3

    Chapelet Fashion Tendance : c'est vrai que ça demande beaucoup de patience et que c'est très stressant mais au final, on est toutes pareilles dans cette situation !

     
  11. C’est article est très beau !
    Et surtout, écris par toi Shini, en connaissance de cause, il l’est encore plus 🙂
    Et pareil, l’idée d’avoir une césarienne me parfait pas naturelle du tour ! M’enfin, j’ai encore le temps,avant tout ça ! 🙂

    Shini, suite au prochain épisode ? Après la grossesse, l’accouchement, avec les premiers,jours de bébé 😀

     
  12. J’ai adoré ton article, Shini ! C’est vraiment super intéressant et ça donne quand même envie !
    J’ai adoré le coup des merguez …

     

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