Se sentir mieux par le biais des plantes ou au moyen d’aiguilles, de techniques de relaxation… Qui n’a pas un jour usé des médecines non conventionnelles, appelées aussi médecines douces, parallèles ou encore alternatives ? D’une façon ou d’une autre, rares sont les personnes qui n’y aient pas touché. Vous n’y croyez pas ? Vous ne savez même pas en quoi cela consiste ? Venez découvrir des méthodes curatives que vous ne soupçonniez même pas
Au fait, qu’est-ce que c’est que les médecines non conventionnelles ?
La médecine englobe toutes les techniques qui permettent de soigner, de guérir ou de soulager. Bien qu’il existe plusieurs branches et spécialisations qui sont aujourd’hui reconnues, d’autres le sont beaucoup moins ou le sont depuis peu. Cependant, pourquoi les considérer comme des médecines alternatives ?
En règle générale, ces médecines non conventionnelles découlent de pratiques traditionnelles qui se sont développées en Occident avant l’apparition des méthodes scientifiques. Cette branche un peu floue et mystérieuse possède plusieurs appellations, et toutes se valent de nos jours. Parmi celles qui n’ont pas encore été citées, on retiendra la « médecine holistique » ou la « médecine traditionnelle ».
Concrètement, quand on qualifie une pratique de médecine parallèle, rien ne prouve que les méthodes employés ne guérissent véritablement. Certaines ont même été démenties au cours du dernier siècle. Pourtant, une grande partie des adeptes de la médecine douce affirment qu’ils sont, si ce n’est guéris, au moins soulagés.
Il existe environ 150 pratiques faisant partie des médecines parallèles, ce n’est donc pas étonnant de s’y perdre un peu.
Alors les médecines conventionnelles sont-elles contre les médecines alternatives ?
Si les médecines douces existent encore, c’est qu’elles apportent certainement un soulagement que la médecine conventionnelle ne peut offrir ou qu’il n’est pas toujours nécessaire d’avoir recours à des médicaments pour chaque souci de santé. Par exemple, les grands angoissés se soignent souvent par des méthodes de relaxation ou par le biais de plantes dont les vertus relaxantes étaient déjà bien connues de nos aïeux. Souvent, Ils ne veulent pas se faire prescrire directement des calmants et s’orientent plutôt sur quelque chose de plus doux qui peut également fonctionner.
Il est vrai que, dans certains pays, plusieurs pratiques de médecines parallèles sont tout simplement interdites, que ce soit pour des problèmes d’éthique ou par souci de contrôler les éventuels charlatans. En France, elles sont tolérées (les formes de médecine alternatives ne sont donc pas interdites), mais un bon praticien vous conseillera toujours de suivre l’avis d’un médecin généraliste si cela est nécessaire. Dans l’autre sens, il est aussi possible qu’un médecin conventionnel prescrive des solutions alternatives de lui-même, ou à la demande du patient, et si cela est possible.
Il est important de signaler que la médecine traditionnelle n’a rien à voir avec des pratiques magiques comme le vaudou ou d’autres bénédictions. Ces dernières s’approchent du domaine des sciences occultes et, bien qu’elles puissent être liées au bien-être pour leurs pratiquants, il n’est pas question de médecine.
Est-ce que l’on se dirige souvent vers les médecines non conventionnelles ?
Parfois, plutôt que de payer une somme conséquente pour une visite chez le médecin, les patients préfèrent d’abord passer par des techniques plus douces et qui coûtent (en apparence) moins cher. De plus, la plupart des adeptes des médecines douces avanceront qu’ils préfèrent prendre des plantes plutôt que des médicaments dont ils ne connaissent pas toujours la composition. Ce genre de remède, pour eux, les rassure.
Les médecines douces se trouvent un peu partout et on y a recours sans même s’en rendre compte. Par exemple, la majorité des pratiques de relaxation, les techniques de massage ou encore l’hypnose sont considérées comme des médecines alternatives.
Qu’est-ce qui est considéré comme médecine non conventionnelle ?
Si vous ne comprenez toujours pas ce qui peut faire partie de la grande famille des médecines alternatives, peut-être que quelques exemples vous parleront davantage. La liste est bien longue, même si quelques pratiques ne sont reconnues que dans certains pays, et ce, depuis quelques années.
Des pratiques venues d’ailleurs
Médecine traditionnelle chinoise
Il s’agit d’une façon de soigner qui existe depuis plus de trois millénaires. En Chine, pour prévenir les maladies et soulager les maux divers, on a recours à une série de pratiques qui visent le bien-être et que l’on regroupe sous le terme de « médecine traditionnelle chinoise » (que l’on abrège aussi en MTC). On retrouve donc :
♦ L’acupuncture : implantation d’aiguilles à des points stratégiques du corps.
♦ Le massage Tui Na : il s’agit d’une technique de massage spécifique de la MTC, souvent utilisée sur des patients plutôt jeunes pour remplacer l’acupuncture.
♦ La diététique chinoise : une alimentation adaptée, riche ou pauvre de certaines matières selon les patients, peut déjà apporter un important bien-être à cette personne.
♦ Le Qi Gong : une pratique spécifique qui mêle exercices physiques et relaxation. Le but est de rétablir l’équilibre de l’énergie qui circule dans le corps.
♦ La pharmacopée chinoise : que ce soit une prescription par un praticien ou venant du patient lui-même, l’adepte de la MTC se fournira en ingrédients divers, d’origine végétale ou animale, qui est censée soulager les maux.
Cependant, ce dernier point pose problème d’un point de vue environnemental. En effet, il n’est pas rare de trouver des substances utilisées comme de la corne de rhinocéros ou des os de tigres, alors que ces animaux (et bien d’autres) sont en voie de disparition.
Plusieurs adeptes préfèrent ne se référer qu’à l’un de ces points et ne pas s’étendre sur les autres pratiques.
L’acupuncture
Comme déjà dit, l’acupuncture est une des pratiques qui découle de la médecine traditionnelle chinoise.
Cela consiste à piquer des aiguilles dans le corps du patient en suivant une ligne que l’on appelle « méridien ». Il s’agit d’un canal intérieur dans lequel circule l’énergie vitale du corps ; il en existe plusieurs (méridien du poumon, du cœur, du gros intestin…).
Pour ceux qui n’aiment vraiment pas les aiguilles, sachez qu’il existe une alternative appelée « moxicombustion » qui utilise une pointe chauffée que l’on presse sur les points d’acupuncture.
L’ayurvéda
La médecine ayurvédique est, comme pour la médecine traditionnelle chinoise, un ensemble de pratiques qui visent le bien-être général de la personne. L’ayurvéda tire en revanche ses origines de l’Inde et daterait de plus de 5 000 ans !
Parmi les pratiques utilisées dans leur ensemble, on retrouvera, comme son homologue chinois, la pharmacopée spécialisée, la diététique et les exercices physiques. L’essentiel pour que le malade se sente mieux, c’est, semble-t-il, de changer d’abord son mode de vie pour que celui-ci soit assaini.
Des pratiques naturelles
La phytothérapie
La phytothérapie est une branche de la naturopathie (soins naturels provenant de produits naturels) qui se base exclusivement sur les bienfaits des plantes. On peut soit directement consommer l’herbe (ou la fleur), soit se l’appliquer sur le corps. Néanmoins, on a plus souvent recours à des produits qui résultent d’une transformation de ces plantes comme des huiles, des élixirs, des onguents…
À savoir que l’utilisation exclusive des huiles essentielles de ces plantes porte plutôt le nom d’aromathérapie.
L’homéopathie
Le mot « homéopathie » signifie en grec « traitement du semblable par le semblable », le principe est que si un produit à haute dose peut être néfaste pour le corps humains, une dose réduite, voire infime, peut l’aider à guérir. Contrairement à la phytothérapie, on n’utilise pas que des plantes, mais parfois aussi de la matière animale comme du venin ou encore de faibles quantités de métaux.
La substance de base est d’abord trempée dans de l’alcool pour en extraire les éléments actifs. Ensuite, ces mêmes éléments sont dilués dans un certain volume d’alcool, puis dans un autre et encore un autre…
Les produits ne sont pas toujours dilués dans l’alcool, certains sont plongés simplement dans de l’eau.
Voilà ce qui provoque le scepticisme de certaines personnes : si un produit est autant dilué, peut-il encore être actif ? Plusieurs le certifient et certains médecins prônent l’utilisation de l’homéopathie pour soulager de petits maux. Crampes, angoisses, petites toux, allergies… Beaucoup de soucis pour autant de substances différentes !
L’apithérapie
L’apithérapie mérite qu’on parle d’elle pour la simple et bonne raison que l’on se trompe sur sa pratique. Il s’agit d’utiliser les produits issus du travail des abeilles (miel, gelée royale…) pour être en bonne santé. Il ne s’agit pas de souffrir sous les piqûres de pauvres abeilles.
Le miel et le propolis joueraient un rôle d’anti-inflammatoire qui soulagent donc arthrites, rhumatismes, tendinites… de façon légère bien sûr. Le plus surprenant, c’est que cette réputation bénéfique existerait déjà depuis plus de 2 000 ans, mais que les chercheurs s’y sont véritablement intéressés que vers la seconde moitié du XXe siècle.
La thérapie florale de Bach
Cette pratique d’origine anglaise existe depuis 1930 et a été mise en place par le docteur Bach, comme son nom l’indique. Le docteur a constaté que plusieurs plantes possédaient des vertus qui leur étaient propres et, sous forme d’élixirs, il les administrait à ses patients en vue d’améliorer leur état émotionnel.
Ainsi, il y a 38 plantes utilisées dans cette méthode qui peuvent influer sur l’angoisse, la solitude, l’hypersensibilité… Il est donc important de bien choisir celle qui sera utile au patient. La plante doit alors être récoltée à un moment précis et doit être coupée soigneusement sans être touchée par la main de l’Homme. On la récupère dans un bol d’eau de source (une eau caractérisée très pure) et on le place au soleil pendant plusieurs heures. Enfin, l’eau est filtrée des impuretés et on obtient l’élixir. Une méthode plus moderne consiste cependant à faire bouillir l’eau et les plantes.
Des pratiques pour se relaxer
Le massage
On ne le croirait pas, mais les massages qui ont des vertus thérapeutiques font bel et bien partie de la grande famille des médecines parallèles. Il existe de multiples techniques venues de tous les horizons !
Par exemple, pour revenir aux origines chinoises, l’anma vise principalement à relaxer le patient, à le détendre entièrement et à évacuer toute forme de stress ou de tension. Il en est de même pour le massage cachemiri, d’origine indienne. Parfois, on associe le massage à une autre pratique, telle que la psychanalyse. C’est le cas lors des massages sensitifs où le patient peut aisément évacuer ses soucis en parlant avec le ou la spécialiste qui le masse.
L’avantage est qu’il ne faut pas nécessairement être un professionnel pour masser quelqu’un qui le souhaite ou qui en a besoin. Il existe même des activités dans les écoles qui visent à apprendre des massages (qui ressemblent à des caresses) aux enfants pour se détendre et se sociabiliser, que ce soit entre eux ou lors d’activités extra-scolaires. Ces bonnes intentions se répercutent souvent à la maison, au sein de leur famille.
L’art-thérapie
Cela ne vous parle pas de prime abord ? Pourtant, cette forme de thérapie commence à se répandre depuis plusieurs mois (voire des années). Vous avez sûrement déjà aperçu ces carnets de coloriages pour adultes aux motifs parfois très complexes qui ont pour but de diminuer le stress. Eh bien cette pratique fait partie, avec d’autres, de l’art-thérapie. Le but étant de se sentir mieux dans sa tête par le biais de l’expression artistique sous toutes ses formes.
Si certaines personnes choisissent le coloriage ou le dessin, d’autres, pourront trouver le réconfort et le bien-être dans quelque chose de plus manuel comme la sculpture ou ou encore des loisirs créatifs.
Pour ceux qui seraient plus physiques, la danse expressionniste permet d’évacuer physiquement les tensions qui s’accumulent entre les séances. Toujours dans cette même optique, on pratique aussi la thérapie vocale, qui calme la douleur en s’exprimant par le chant. Il est également possible d’utiliser la musique en tant que thérapie, ce qui est le cas de la musicothérapie.
L’hypnose
Il est vrai que l’on a longtemps considéré l’hypnose comme faisant partie du monde des sciences occultes, au même titre que la magie ou la divination. Or, il est prouvé aujourd’hui qu’il s’agit d’une méthode avérée qui offre des résultats scientifiques intéressants. Les personnes sous hypnose pourraient revenir à des relations prélangagière de l’enfance.
L’hypnose, techniquement parlant, consiste à entrer dans un état mental secondaire, où le subconscient prime sur le conscient. De cette façon, il devient possible de contrôler certains souvenirs qui étaient « bloqués » dans la mémoire du patient, mais on parvient également à vaincre de puissantes phobies.
Dans la même veine, il existe l’autohypnose. À ce moment-là, le patient n’a plus recourt à une tierce personne pour entrer en état d’hypnose, mais il peut y parvenir seul.
La méditation
Le terme « méditation » peut signifier plusieurs choses selon le contexte ou la croyance, mais dans ce cas-ci, la méditation est une pratique mentale qui vise à calmer l’esprit et à se concentrer sur son propre corps ainsi que ses besoins.
La méditation provoque des changements physiques incontestables : le rythme cardiaque diminue et les muscles se décontractent complètement. Au sein du monde scientifique, beaucoup de points d’interrogations subsistent quant à son efficacité , mais les adeptes trouvent vraiment un bien-être qui les apaise.
Le yoga, qui est une forme de méditation très populaire, consiste à adopter différentes postures et de les maintenir tout en se concentrant sur sa propre respiration. Comme dans les autres formes de méditation en général, cette pratique vise un bien-être intérieur et à chasser le stress.
D’autres pratiques
L’hydrothérapie
L’hydrothérapie reprend en réalité toutes les pratiques où l’on utilise l’eau de façon externe (donc, autrement qu’en la buvant) afin de soulager les maux. Effectivement, il existe plusieurs méthodes et toutes ont leurs petites caractéristiques : que ce soit par la pratique utilisée (les bains, les jets…) ou alors les types d’eau (eau minérale, eau de mer…).
Quand on parle de thalasso(thérapie) par exemple, il faut savoir que l’on se centre sur l’eau de mer ainsi que sur tous les soins qui en découlent (les soins à base d’algues marines, d’air salin, etc.). En revanche, quand on évoque le thermalisme, on entend alors qu’il s’agit d’eau de source, qui provient bien souvent d’un forage local.
La balnéo(thérapie), elle, se concentre plutôt sur le fait d’utiliser divers bains pour se sentir mieux. Dans ce cas de figure, on regroupe aussi bien les bains à bulles que les bains de boue ou encore les bains de soleil ! On confond souvent ces différentes pratiques, avec le spa, qui lui vise plutôt la beauté et le bien-être que les soins. Ce mot découle d’ailleurs de l’expression latine salus per aquam qui signifie « la santé par l’eau ».
La zoothérapie
La zoothérapie connaît un succès grandissant depuis quelques années. Il s’agit bien sûr d’atteindre un sentiment de bien-être ou de lutter contre la dépression grâce à la présence animale.
Les personnes qui ont des affinités avec les animaux sont toutes susceptibles de gagner en positivisme grâce à la zoothérapie. On a déjà constaté de nombreux bienfaits chez les enfants autistes ou atteints de troubles de l’attention. Ceux-ci sont plus attentifs à l’environnement qui les entoure et s’ouvrent un peu plus facilement à leur entourage.
Depuis peu, ce système est également employé dans les maisons de repos. En effet, des personnes spécialisées viennent une à deux fois par semaines dans les institutions qui le demandent avec petits chiens, chats ou encore lapins et les personnes âgées peuvent passer une heure ou deux en compagnie de ces charmantes boules de poils. Les moins assurées se contentent de regarder de loin en souriant, les plus attendries manipuleront les animaux avec beaucoup de précautions et de caresses. Le résultat direct est l’augmentation du moral, qui peut être très bas quand une personne se retrouve seule et qu’elle n’a pas de visite.
Une branche spécialisée existe également, autour du cheval. On l’appelle hippothérapie ou équithérapie. Elle est souvent reconnue pour aider les enfants autistes ou souffrants d’un handicap mental à s’épanouir à travers le cheval. De plus en plus de centres équestres offrent cette possibilité, et plusieurs institutions spécialisées peuvent également vous renseigner sur cette pratique.
Et vous, connaissez-vous toutes ces médecines non conventionnelles ? Avez-vous déjà essayé l’une d’elle ? En connaissez-vous d’autres ? N’hésitez pas à parler de vos expériences dans un commentaire !
Enley Tyler
Sources écrites
Laurent, Daniel. La tradition et la médecine chinoise. Paris : Éditions Guy Trédaniel, 1997. ISBN 2-85707-935-4
Vernette, Jean ; Moncelon, Claire. Les nouvelles thérapies : Mieux vivre et guérir autrement. Paris : Presses de la Renaissance, 1999. ISBN 2.85616.716.0
Hawkey, Sue. La phytothérapie. Genève : Manise, 1998. ISBN 2-84198-101-0
Hayfield, Robin. L’homéopathie : Des remèdes simples pour une santé naturelle. Genève : Manise, 1999. ISBN 2-84198-124-X
Fabrocini, V. Encyclopédie des médecines alternatives. Paris : Éditions de Vecchi S. A., 2002. ISBN 2-7328-3382-7
Les médecines conventionnelles (In : Wikipédia)
Se soigner autrement (In : Psychologies)
Les médecines alternatives (In : Le point)
Haynen-Rademakers, Véronique. Les fleurs de Bach [en ligne].
Sources images
Image à la une : C. Kubat
Image 1 à 5 : C. Kubat
J’aimerai bien essayer le coloriage anti-stress, ça doit être sympa comme méthode ! L’homéopathie ne marche pas sur moi, je ne dois pas être réceptive…
Très bon article, le sujet est intéressant je trouve 🙂
Je n’ai testé que l’homéopathie : je n’ai pas été convaincue, je l’ai utilisée en cas de stress, ça marche bien les 3 premières fois et après pfiou, cela ne fonctionne plus.
J’aimerai beaucoup tester l’hydro et la zoothérapie par contre !!!
Je suis souvent passée par l’homéopathie pour me soigner, du coup, je suis malade avec les médicaments bien lourds ha ha…
J’ai parlé de plusieurs méthodes qui étaient les plus connues (ou qui commencent à être réputées), malheureusement on ne peut pas parler de tout à la fois…
Il y’a tellement de possibilités dans notre siècle !!! c’est génial de voir qu’on est plus obligé de passer par la médecine traditionnelle pour guérir. Je connais personnellement beaucoup l’homéopathie, les huiles essentiels et l’hypnose, mais le reste m’est encore inconnu
Le coloriage semble être très apprécié actuellement pour les adultes, comme thérapie ou simple moyen de décompresser, en tous cas j’en vois pas mal d’articles et de personnes qui le pratiquent !
Super article, merci beaucoup
Ca fait un moment que je me renseigne sur la médecine douce, en commençant pour ma part par l’aromathérapie.
Aujourd’hui je fais de la danse thérapie et ça fait un bien fou aux personnes qui m’entourent