Les trios célèbres des dessins animés

Nous nous accorderons pour dire que les duos, c’est dépassé, et que dans le Club des Cinq, il y a trop de monde ! C’est pourquoi les trios présentent un équilibre parfait : si vous voulez en savoir plus sur les neuf trios les plus célèbres des dessins animés, n’hésitez plus, lisez cet article !

Le trio classique : Nif-Nif, Naf-Naf et Nouf-Nouf

On commence avec du classique ! En effet, le trio dont je vais vous parler n’est autre que l’adaptation par les studios Disney des très célèbres trois petits cochons, dont l’histoire date au moins du XVIIIe siècle.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas leur histoire, il s’agit de trois petits cochons qui quittent leur ferme natale pour vivre leur propre vie. Le premier petit cochon se construit une maison en paille, le second fabrique la sienne à partir de bois et le troisième monte une maison en briques. Le grand méchant loup entend parler des cochons et tente de les dévorer ! Les deux premières maisons n’étant pas solides, elles s’écroulent sous les coups et le souffle puissants du loup. Dans certaines versions, il parvient même à dévorer les deux premiers petits cochons, mais pas le dernier, qui reste caché à l’intérieur de sa résistante maison. Dans d’autres variantes, les deux premiers cochons s’enfuient à temps et se réfugient chez leur camarade (ou leur frère, selon les versions).
Quel que soit le sort des deux premiers cochons, à la fin du conte, le loup tente de s’introduire dans la maison de briques en passant par la cheminée et s’ébouillante dans la marmite de soupe que préparait le cochon.
Les studios Disney adaptent cette histoire en 1933 dans un court métrage de huit minutes portant le même titre que le conte originel : Les Trois Petits Cochons. C’est ainsi qu’apparaissent Nif-Nif, Naf-Naf et Nouf-Nouf !
L’histoire est la même, mais les studios sont les premiers à donner des noms aux cochons. En version originale, Nouf-Nouf est appelé Fifer Pig, Nif-Nif Fiddler Pig et Naf-Naf Practical Pig, ce qui signifie respectivement « le cochon fifre », « le cochon violoniste » et « le cochon pragmatique ». C’est en effet ce dernier qui construit la maison capable de résister aux attaques du loup et qui retire le couvercle de la marmite pour ébouillanter le canidé, qui s’enfuit sans demander son reste. Maintenant que vous savez tout sur ce premier trio, tous en chœur pour la chanson !

Le trio interchangeable : Riri, Fifi et Loulou

Après les cochons, passons aux canards ! Créés en 1937 par Ted Osborne et Al Taliaferro, à qui l’on doit déjà les aventures de Donald Duck et une partie de son univers, ils sont les neveux de ce dernier et par conséquent les petits-neveux du richissime Balthazar Picsou. Ils habitent chez leur oncle Donald à qui leur mère, Della Duck, les a confiés après leur énième bêtise, ayant conduit leur père à l’hôpital. Cependant, elle n’est jamais revenue les chercher, et ils sont restés chez Donald.
Cette histoire n’apparaît que dans le premier gag de Riri, Fifi et Loulou, et leurs parents ne seront plus jamais mentionnés par la suite, ni dans les bandes dessinées, ni dans les dessins animés. Leur histoire télévisée commence en 1938 dans le court-métrage Les Neveux de Donald qui raconte leur arrivée chez ce dernier, mais on les connaît surtout comme personnages principaux de La Bande à Picsou, série animée en 100 épisodes créée en 1987.
Nos canards sont débrouillards et si, à l’origine, ils étaient farceurs et insolents, dans leurs aventures les plus récentes, ce sont des modèles de sagesse : ce sont souvent eux qui raisonnent leur oncle et ils se comportent généralement de manière plus convenable que lui. Ils font même partie de l’organisation scoute des Castors Juniors, apparue dans les bandes dessinées en 1951, et le manuel des Castors Juniors est pour eux un guide précieux, servant de réponse à de nombreuses questions qu’ils se posent.
En version originale, Riri, Fifi et Loulou se nomment respectivement Huey, Dewey et Louie, les noms de deux hommes politiques américains, et d’un animateur ayant participé à plusieurs longs-métrages d’animation des studios Disney. Dans les bandes dessinées, ils parlent souvent « en canon », c’est à dire que chacun complète les paroles de l’autre. Une de leur particularité est de ne pas être différenciables : les dessinateurs ont essayé de leur attribuer des couleurs (Riri porterait du rouge, Fifi du bleu et Loulou du vert), mais elles ne sont pas toujours respectées. Heureusement, dans les histoires, Donald n’a aucun mal à les reconnaître !

Le trio féérique : Flora, Pâquerette et Pimprenelle

Voyageons maintenant jusqu’en 1959, au cœur du 20e long-métrage des studios Disney ! Ce sont bien sûr les trois fées de La Belle au Bois Dormant qui forment notre prochain trio.
Comme les Trois Petits Cochons, ce dessin animé s’inspire d’un conte, cette fois-ci du XVIIe siècle, écrit par le très célèbre Charles Perrault. Dans la version de Perrault, les fées sont sept, mais Disney a préféré réduire ce nombre à trois.
Elles apparaissent au début de l’histoire, lors du baptême de la princesse Aurore, dans le but de lui offrir chacune un don : la première, Flora, lui offre la beauté, Pâquerette la dote d’une jolie voix, mais la méchante sorcière Maléfique apparaît avant que Pimprenelle n’ait pu faire don d’un talent à la princesse. La reine du mal déclare être vexée de ne pas avoir été conviée au baptême, mais excuse le roi et la reine et prétend vouloir elle aussi faire un don à Aurore. Elle s’avance près du berceau et déclare :
« Ma volonté est telle qu’avant l’aube de ses seize ans, elle se piquera le doigt à la pointe d’une quenouille, et en mourra ! »
Tous les invités sont sous le choc, et la méchante fée s’échappe avant que les gardes ne l’attrapent. Heureusement, il reste un don à offrir à Aurore : celui de Pimprenelle ! N’ayant pas assez de pouvoir pour conjurer la malédiction, elle en réduit la gravité : la princesse se piquera le doigt, mais au lieu d’en mourir, elle sera plongée dans un long sommeil de cent ans et sera réveillée par le baiser d’un prince charmant.
Par la suite, afin de la protéger et d’essayer d’échapper à la malédiction, les trois fées décident d’emmener Aurore vivre dans la forêt, loin du château et de tout signe de magie. Elles renomment la princesse du nom d’Eglantine et l’élèvent comme leur propre fille jusqu’à ses seize ans. Pour connaître la suite, il vous faudra regarder le dessin animé !
Comme pour Riri, Fifi et Loulou, une couleur est attribuée à chacun des membres du trio : Flora porte du rouge, Pâquerette du vert et Pimprenelle du bleu.
Elles apparaissent également dans la nouvelle adaptation du conte, Maléfique, sortie en 2014, sous les noms de Hortense, Capucine et Florette. Comme le film est placé du point de vue de la sorcière, les fées ne dégagent pas la même sympathie dans cette version que dans celle de 1959. Elles n’ont pas autant d’expérience en matière de magie et se disputent souvent.

Le trio artiste : Marie, Toulouse et Berlioz

Tout le monde veut devenir un cat… parce qu’un chat, quand il est cat, retombe sur ses pattes… Eh oui, vous l’aurez deviné, nous allons maintenant passer aux Aristochats !
Leur histoire se déroule à Paris, au début du XXe siècle. Comme l’indique le titre mot-valise formé à partir des mots « aristocrate » et « chat », les Aristochats sont des chats de « bonne famille », qui sont en première position sur l’héritage de leur riche propriétaire, devant son majordome Edgar. Jaloux, il décide alors de se débarrasser des trois chatons, Marie, Toulouse et Berlioz, ainsi que de leur mère Duchesse, en les abandonnant à la campagne. Aidés par de nombreux compagnons dont Thomas O’Malley le séducteur, les Aristochats cherchent à rentrer chez eux par tous les moyens et rencontrent une troupe de chats musiciens dont le leader est Scat Cat. Ce sont eux qui interprètent la célèbre chanson Tout le monde veut devenir un cat.
Les chatons sont très attirés par les arts. Marie est une chanteuse exceptionnelle tandis que Toulouse joue du piano et que leur frère Berlioz est artiste-peintre (du moins, autant qu’un chat puisse l’être !). Leurs noms sont inspirés d’artistes ayant réellement existé : Henri de Toulouse-Lautrec, peintre français du XIXe siècle, le compositeur Hector Berlioz, français lui aussi, et la chanteuse américaine Maria Callas.
Le dessin animé est globalement un succès, mais on lui reproche souvent un scénario faible et une impression de déjà-vu : utiliser des animaux domestiques humanisés comme personnages principaux est une technique récurrente chez Disney. Plusieurs critiques parlent même des Aristochats comme d’une version féline des films canins de l’époque, à savoir La Belle et le Clochard et les 101 dalmatiens.
Une suite du film était envisagée dans les années 2000, mais elle n’a pas abouti.

Le trio criminel : Jessie, James et Miaouss

Changeons maintenant complètement de décor et allons voir ce que nous avons du côté des animes, c’est-à-dire des productions animées japonaises. Jusqu’ici, nous n’avions eu à faire qu’à de gentils trios, mais nous allons passer de l’autre côté de la barrière puisque c’est à la Team Rocket que nous allons à présent nous intéresser.
Cette dernière n’est autre que l’organisation criminelle principale des premières versions des jeux vidéo et de la série Pokémon, constituée de voleurs œuvrant dans le but de capturer tous les Pokémon pour les utiliser comme des outils ou en faire une source de pouvoir. Leur trio emblématique est celui formé par Jessie, James et leur fidèle Pokémon parlant : Miaouss.
Ils apparaissent pour la première fois dans le deuxième épisode de l’anime et dans le jeu vidéo qui s’en inspire, la version Pokémon Jaune. Leur but ultime est de dérober le Pikachu de Sacha, mais les héros ne comptent pas les laisser faire ! Au fil des saisons, le trio élabore des centaines de plans tous plus farfelus les uns que les autres, et toujours en vain.
Jessie est la fille du groupe. Elle est capricieuse, égoïste, narcissique et agressive, et c’est généralement elle qui prend les décisions pour le groupe. Elle est originaire d’une famille pauvre et a échoué à l’école d’infirmière de Centre Pokémon avant de s’engager dans la Team Rocket.
James est plus gentil, calme et naïf. À l’inverse de sa collègue, il est né dans une famille riche et noble, mais n’a pas supporté les us et coutumes de ce milieu social et s’est donc engagé lui aussi dans l’organisation.
Enfin, Miaouss est le Pokémon du groupe. Contrairement aux autres Pokémon, il sait lire et parler comme les humains, facultés qu’il a apprises pour séduire un Miaouss femelle qui ne s’intéressait qu’aux humains. Lorsqu’elle le rejette, il rejoint à son tour la Team Rocket.
Les noms des deux humains du trio nous proviennent de la version anglaise et sont bien sûr inspirés du nom du célèbre hors-la-loi américain du XIXe siècle, Jesse James.
Dans de nombreux épisodes, nos trois compères sont contraints de revêtir des déguisements ou d’exercer toute sorte de métiers pour se rapprocher de Sacha et de son Pikachu. Souvent, les rencontres entre le héros et les membres de la Team Rocket sont l’occasion de tourner ces derniers en ridicule, ce qui fait de Jessie, James et Miaouss des personnages comiques. À chaque défaite contre Sacha et ses compagnons de voyage, ils sont projetés dans le ciel et crient « Une fois de plus, la Team Rocket s’envole vers d’autres cieux ! ».

Le super-trio : Bulle, Belle et Rebelle

Si vous avez grandi dans les années 2000, vous aurez probablement reconnu dans le titre les Super Nanas ! Cette série animée mettant en scène trois petites filles, qui sont en réalité de super-héroïnes, a été créée en 1998 par Craig McCracken.
Bulle, Belle et Rebelle ne sont pas des petites filles ordinaires : elles ont été créées dans un laboratoire par un professeur du nom d’Utonium, qui souhaitait créer des petites filles parfaites, mais a commis une erreur dans les ingrédients qui a permis aux trois petites d’être dotées de super-pouvoirs ! Outre leurs pouvoirs communs, comme par exemple celui de voler ou de voir à travers les murs, chacune des trois sœurs dispose aussi de pouvoirs spécifiques : ainsi, Belle peut notamment cracher du feu, Bulle peut parler aux animaux et Rebelle peut créer de petites tornades. Elles se servent de ces facultés pour repousser les attaques de monstres sur leur ville : Townsville.
Comme dans chaque trio, chacun des trois membres a une personnalité bien à lui : Bulle, la blonde, est la plus douce et son comportement est plus proche d’un jeune enfant que celui de ses sœurs.
Belle, la rousse, est la cheffe et la plus intelligente du groupe. C’est elle qui élabore les plans. Elle est réfléchie et calme, à l’inverse de sa sœur Rebelle, aux cheveux noirs, qui aime la bagarre et les jeux de ballon. Elle dispose d’une grande puissance de combat, et ses sœurs sont souvent obligées de la réfréner.
Le maire de la ville les appelle souvent à la rescousse dès qu’une menace plane sur celle-ci. Leur ennemi principal est un singe vert du nom de Mojo Jojo. Vous l’avez peut-être déjà aperçu, même sans avoir regardé la série, car il est à l’origine du meme « That’s the evilest thing I can imagine », très célèbre sur Internet.
On retrouve également chez les Super Nanas la même répartition de couleurs que chez Riri, Fifi et Loulou : Bulle porte du bleu, Belle du rouge et Rebelle du vert.

Le trio minuscule : Joey, Dee-Dee et Marky

Retournons maintenant du côté des méchants ! En 1999, une nouvelle série animée apparaît sur nos écrans. Elle met en scène un chat bleu du nom d’Oggy, qui habite quelque part en France, dans une villa. Sa vie serait des plus tranquilles… si un trio d’énormes cafards ne passait pas son temps à essayer de le faire tourner en bourrique !
Les cafards vivent dans une grille d’aération de la villa d’Oggy. Ils ont fait de ce dernier leur principale cible et s’amusent à le torturer par tous les moyens. Durant chaque épisode de sept minutes, ils élaborent des plans pour martyriser le pauvre chat.
Même dans cette série sans parole et complètement déjantée, on retrouve les codes habituels du trio : chacun des cafards a ses traits de caractère propres. Le chef du trio, et également le plus méchant des trois insectes, est Joey, le petit cafard violet. Le plus gourmand d’entre eux est Dee-Dee, que l’on reconnaît à sa couleur bleue. Il est également doté d’une sensibilité artistique qui ne demande qu’à s’exprimer. Enfin, Marky est le grand cafard vert. C’est un dragueur qui ne peut s’empêcher de séduire tout individu féminin, y compris les poupées.
Leur nom provient des membres du groupe de punk-rock américain des années 70 à 90, les Ramones, tout comme celui d’Oggy s’inspire du chanteur Iggy Pop.
Un film de 80 minutes, adapté de la série, est sorti au cinéma à l’été 2013. On y retrouve bien sûr les cafards, dans les quatre époques historiques que traverse Oggy.
Des produits dérivés, tels que des peluches d’Oggy et même des cafards, sont disponibles dans le commerce.

Le trio d’espionnes : Alex, Sam et Clover

Tutudu, tutudu !
Comment ça, ça ne vous dit rien ? Voyons, c’est la sonnerie du com-poudrier des Totally Spies !
Pour ceux qui ne connaissent pas cette série franco-canadienne culte de 2001, il s’agit de l’histoire de trois lycéennes de Beverly Hills répondant aux noms d’Alexandra (dite Alex), Samantha (dite Sam), et Clover, qui sont en réalité des agents secrets employées par le WOOHP (acronyme de World Organisation Of Human Protection). Lorsque Jerry, le chef du WOOHP, a besoin d’elles, il les fait téléporter jusqu’aux bureaux où il leur explique ce qui les menace, quelle est leur mission et leur confie toutes sortes d’objets dont elles auront besoin pour mener à bien cette dernière.
Lorsqu’elles sont en mission, elles portent des combinaisons en latex où, encore une fois, chacune dispose de sa propre couleur : celle d’Alex est le jaune, tandis que Sam porte du vert et Clover du rouge.
Dans le trio que forment les Totally Spies, il n’y a pas vraiment de chef d’équipe. Chacune dispose de ses atouts et de ses faiblesses, et c’est en les mettant en commun qu’elles parviennent à remplir les missions que Jerry leur confie. Sam est la plus réfléchie des trois adolescentes, tandis qu’Alex est la plus sportive et Clover la plus… jolie. Si les trois jeunes filles apprécient le shopping et la mode, Clover en est la plus représentative : elle ne sort jamais sans son maquillage, et les vêtements sont l’un de ses sujets de conversation favoris.
Le dessin animé joue beaucoup des stéréotypes et se moque des clichés que l’on retrouve dans de nombreuses séries pour adolescents. Son mélange équilibré d’humour et d’action en fait l’une des meilleures séries animées pour enfants des années 2000.
Outre le dessin animé, les aventures des Totally Spies se déclinent aussi sous forme de livres, de jouets et de jeux vidéo, et un film préquelle de la série est sorti en juillet 2009. Il raconte comment les espionnes se sont rencontrées et comment elles ont été recrutées par le WOOHP.

Le trio préhistorique : Sid, Manny et Diego

Paradoxalement, le trio le plus récent en terme d’année de création nous emmène tout droit au milieu de la préhistoire, puisqu’il s’agit du trio de L’Âge de Glace ! Le premier film est sorti en 2002. Contrairement à nos huit autres trios, celui-ci est réalisé en images de synthèse. Comme le titre l’indique, l’action se déroule au moment de l’ère glaciaire. Sid, un paresseux étourdi mais adorable, rencontre par hasard un mammouth du nom de Manfred, qui lui sauve la vie alors qu’il était poursuivi par des rhinocéros.
Par la suite, Sid s’attache au mammouth qu’il décide de surnommer « Manny ». Pendant ce temps, une meute de tigres à dents de sabre fomente un plan pour kidnapper et dévorer le bébé du chef d’un village d’humains qui a causé la mort de plusieurs tigres du clan. Diego en fait partie, et c’est à lui qu’est confiée la mission de capturer le bébé et de le ramener en vie à son chef. Le tigre infiltre donc le groupe que forment Sid et Manny, qui a trouvé l’enfant en bas d’une cascade et souhaite le ramener dans son village. Comme d’habitude, pour connaître la suite, il vous faudra regarder le film !
Souvent critiquée par les scientifiques et historiens pour ses grandes incohérences historiques et anachronismes, la série l’Âge de Glace n’en reste pas moins très populaire et connaît dès 2002 un grand succès : à l’heure actuelle, quatre films sont déjà sortis dans les salles et un cinquième est prévu pour 2016.
Malgré son côté solitaire et renfrogné au premier abord, Manny se révèle être d’une grande douceur et est très proche de ses amis et de sa famille. C’est un ami fidèle sur qui Sid et Diego sont sûrs de pouvoir compter.
Sous les airs de tigre féroce que lui confèrent ses imposantes dents, Diego cache lui aussi une sensibilité et une gentillesse sans limite, même s’il apparaît au début de l’histoire comme un personnage cruel. Il est en réalité loyal et courageux.
Enfin, Sid est le personnage le plus comique du trio. Sa maladresse et sa naïveté font de lui un personnage attachant malgré ses défauts. Il est très proche de ses amis qu’il considère comme sa famille, puisque cette dernière l’a abandonné.
D’autres personnages se joindront à notre trio dans les différentes suites qui ont été données au film, mais nos trois personnages resteront les héros principaux de chaque histoire.

C’est sur cette note préhistorique que cet article s’achève ! Avez-vous appris des choses sur ces neuf trios de dessins animés ? Duquel d’entre eux préféreriez-vous faire partie ? Connaissez-vous d’autres trios emblématiques du genre ? Dites-nous tout dans les commentaires de l’article !

Kaalyn

Sources textes :

Wikipédia
Youtube
Le Journal de Mickey
Dailymotion
Disney.FR
AnimationSource
Pokemon.com
Xilam
Club Jouet
TotallySpies.com
IceAgeMovies

Sources images :

Image à la une : montage de Kaalyn pour le MonChval Mag’
Image 1
Image 2
Image 3
Image 4
Image 5
Image 6
Image 7
Image 8