Vermifugation des chevaux

Vermifugation cheval
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Le vermifuge est un traitement administré couramment à de nombreux animaux domestiques, dont les chevaux. Disponible en pâte, en comprimés ou même sous forme liquide, c’est un médicament qui permet de lutter contre les parasites. Il s’agit d’un outil essentiel pour la santé des équidés, puisque les conséquences de l’infestation peuvent aller jusqu’à la mort. Cependant, les pratiques doivent être contrôlées afin de ne pas engendrer des problèmes de résistance des vers aux traitements. Contre quels parasites peut-on se prémunir ? Comment choisir et administrer un vermifuge ? Quelles sont les bonnes pratiques à adopter ? Lisez cet article pour devenir incollable sur la vermifugation des chevaux !

Principaux parasites digestifs des chevaux

Vers vermifugation cheval

Les chevaux peuvent être infestés par une multitude de parasites. Chacun a un mode de vie particulier et provoque donc des symptômes spécifiques. Le traitement à administrer doit donc s’adapter au type de contamination pour bien lutter contre ces nuisibles et les tuer.

Les deux parasites les plus courants sont ceux de la famille des strongles (des vers ronds) et des gastérophiles (des mouches ressemblant à des bourdons, dont les larves sont brunâtres). Dans les deux cas, ce sont les larves qui sont les plus dangereuses, mais aussi les plus difficiles à éliminer. Il faut savoir que les chevaux sont souvent contaminés en mangeant de l’herbe souillée ou en se léchant après s’être roulé par terre, c’est pourquoi il est essentiel de faire attention à la pâture dans laquelle les chevaux sont mis.

Les larves de strongles sont ingérées, souvent au printemps et à l’automne, puis migrent vers le tractus digestif, d’où elles se rendent dans les petites puis les grosses artères. Les parasites provoquent alors la formation de caillots grâce auxquels ils se développent. À la fin de l’hiver, les larves de strongles retournent vers l’intestin où elles peuvent endommager le foie ou encore le caecum. Certains vers peuvent même infester la trachée ou les bronches.

Oeuf gastérophile vermifugation cheval

Les œufs de gastérophiles s’attachent sur les poils du cheval en été. Les larves de gastérophiles passent de la bouche à l’œsophage ou à l’estomac. Elles sont particulièrement présentes dans les prés pendant l’été. Une fois fixées, elles grossissent en se nourrissant de ce qu’ingère le cheval et peuvent atteindre jusqu’à 2 cm. Elles se détachent ensuite et sont excrétées par le crottin afin de donner des adultes.

Un autre parasite qui infeste beaucoup les poulains ou les jeunes chevaux est l’ascaris, qui contamine les équidés via leur alimentation (herbe contenant des œufs). Contrairement aux parasites précédents, la forme adulte de ce vers blanc est aussi redoutable que la forme larvaire. Elle se loge dans l’intestin qui peut se retrouver perforé dans le pire des cas, tandis que les larves se placent plutôt dans les voies respiratoires (essentiellement les poumons).

Les oxyures sont des vers ronds particulièrement présents dans les boxes. Les larves sont présentes dans l’intestin grêle, le colon et le rectum des chevaux et provoquent des démangeaisons anales.

Le dernier parasite est moins commun mais très dangereux : le ténia. Il s’agit d’un vers plat, segmenté et blanc qui peut atteindre plusieurs mètres. Il infeste tout d’abord des acariens de prairie et se répand à l’intérieur du cheval lorsque ce dernier mange l’hôte primaire. Il se loge ensuite dans l’iléon (une partie de l’intestin grêle) et à la jointure entre l’iléon et le caecum . Il reste alors à cet endroit où il se développe et grandit. Il peut provoquer des coliques, des irritations intestinales voire une obstruction du tube digestif, tous ces symptômes pouvant être graves.

D’autres parasites moins courants peuvent cependant infester les chevaux : les douves, les anguillules, les spirures, les trichonèmes…

Chaque parasite, en fonction de sa localisation, de ses déplacements et de ses besoins provoque des effets différents. Avec des symptômes au départ peu spécifiques, il est important de prendre l’infestation à temps avant qu’elle ne dégénère. Voici les symptômes les plus courants en cas d’infestation par des parasites :
– Une fatigue générale due à un apport énergétique insuffisant, les parasites se nourrissant de ce que mange le cheval ;
– Un poil terne, qui se décolore, « piqué » et une queue qui s’effiloche, à cause des démangeaisons provoquées par les parasites et de l’apport nutritif insuffisant ;
– Un amaigrissement anormal causé par la portion importante de nourriture assimilée par les parasites : les ténias et les ascaris mangent jusqu’à 50% de la nourriture ingérée par le cheval ;
– Des douleurs abdominales, des diarrhées et des coliques liées aux perturbations du cycle digestif du cheval lorsque les parasites se trouvent dans le tractus intestinal ;
– Une toux régulière si les voies respiratoires sont touchées.

Parfois, les chevaux infestés peuvent avoir de la fièvre causée par leur système immunitaire qui essaie de lutter contre les parasites. Dans les cas les plus graves, il peut y avoir des ulcères de l’estomac, des occlusions ou des perforations intestinales, une rupture d’anévrisme et même la mort.

Choisir le bon vermifuge pour son cheval

Le vermifuge agit surtout sur les larves et les adultes pour les tuer, plus rarement sur les œufs. Il est donc important de bien suivre l’élimination des parasites morts pour éviter que le cheval ne se contamine à nouveau en ingérant des œufs en broutant dans une pâture contaminée qui donneront ensuite des larves puis des adultes.

Il agit sur les parasites déjà présents dans le corps du cheval, l’efficacité est au contraire très faible sur la pâture. Il est très difficile de mettre en place un traitement préventif afin d’éviter que les vers ne s’y installent, contrairement à certains virus ou bactéries pour lesquels il y a parfois des vaccins, le vermifuge est donc le traitement principal.

La majorité des vermifuges se présentent sous forme de pâte dans une seringue graduée (cela permet d’adapter la dose au poids du cheval). Certains se présentent sous forme de comprimés à administrer par voie orale. Un seul vermifuge se présente sous forme liquide, le Panacur.

Dans de rares cas, le vétérinaire peut opter pour une vermifugation à la sonde, qu’il est le seul à pouvoir pratiquer. C’est indiqué dans des infestations aigües ou quand la vermifugation classique n’a pas d’effet.

Finalement, il existait il y a quelques années des vermifuges injectables qui ont parfois été utilisés sur les chevaux. Ils pouvaient malheureusement provoquer des chocs anaphylactiques qui pouvaient être mortels pour les équidés et aujourd’hui aucun n’est autorisé à la vente pour une application sur les chevaux (ils existent toujours pour les bovins).
Il y a quatre grandes familles de vermifuges, qui coûtent en moyenne une vingtaine d’euros, jusqu’à cinquante euros pour les plus chers :
– les benzimidazoles, efficaces contre les strongles, les ascaris et les trichonèmes, mais peu contre les gastérophiles et pas du tout contre les ténias. Ils sont souvent donnés au printemps ou au début de l’été. Les principaux vermifuges de cette famille sont Panaur, Strongid, Telmin, Equiminthe ou encore Rintal. Parfois, ces vermifuges sont enrichis d’organophosphorés (Telmin plus, Rintal plus) afin d’avoir un spectre d’action plus large. Cependant, ces traitements sont contre-indiqués pour les juments en gestation.
– les tetrahydropyrimidines, avec des produits commerciaux comme le Strongid, l’Embotape ou encore l’HippoTwin. Ils sont actifs contre certains vers intestinaux adultes, mais pas contre les vers pulmonaires. En administrant une double dose, ils peuvent permettre de lutter contre le ténia.
– les avermectines, essentiellement avec les molécules d’ivermectine et de moxidectine. La première a un large spectre d’action, mais est inefficace contre le ténia. Elle est souvent administrée à l’automne pour lutter contre les gastérophiles et est contenue dans des vermifuges tels qu’Eqvalan, Furexel, Equimax, Bimectine, Noromectin ou Horsipac. La moxidectine est quant à elle contenue dans des produits comme Equest ou Equest Pramox. C’est l’un des traitements les plus longs et durables, actif contre les strongles, les ascaris, les oxyures, les gastérophiles mais pas contre les ténias.
– le praziquantel est un traitement spécifique des ténias. Il est souvent donné en septembre, en particulier dans les régions humides où les ténias peuvent mieux se développer. Les produits commerciaux contenant ce type de molécule sont Droncit, Tenivalan, Equitape ou Equirrax.

Dans les cas de contamination avérée, un vermifuge spécifique du parasite présent est administré. Le plus souvent, les vermifuges sont donnés à titre préventif en suivant un planning assez général qui cible les parasites selon la saison où ils sont le plus probablement présents. Voici un programme type de vermifugation :

Programme type vermifugation cheval

L’un des gros problèmes rencontrés actuellement avec les vermifuges est celui de la résistance des parasites, à cause de la forte utilisation de ces produits et de la faible diversité de molécules utilisées. Les premières résistances ont été décrites dans les années 70. Tandis qu’elles étaient rares à l’époque, elles sont de plus en plus courantes. À la fin du XXe siècle, 60% des haras normands hébergeaient par exemple des parasites résistants…

Des recherches sont en cours pour trouver de nouvelles molécules, mais les pistes prometteuses sont rares à court terme. Ainsi, il faut surtout faire attention aux pratiques pour les éviter.

La première chose à faire est d’éviter d’utiliser tout le temps le même vermifuge, qui contribue à sélectionner les parasites résistants. Cela a donc l’effet inverse de celui recherché : les vers restent dans le corps du cheval, ont toute la place pour se développer, contaminent le pré et les autres chevaux et deviennent très difficiles à éliminer. Il faut donc veiller à changer non seulement de vermifuge, mais bien aussi de molécule active dans le vermifuge ! En effet, des vermifuges différents peuvent contenir le même principe actif, ce qui aurait le même effet que si vous n’aviez pas changé de produit.

Afin de lutter contre les résistances, il est important de déterminer à l’avance si le traitement choisi est adapté, nécessaire et surtout s’il sera efficace. Pour déterminer si un cheval est infesté par des parasites résistants, un test peut être effectué par un laboratoire spécialisé : après avoir compté la quantité d’œufs de parasites dans le crottin et avoir diagnostiqué que le cheval est infesté (plus de 200 œufs par gramme de crottin), l’équidé est vermifugé puis un nouveau comptage est réalisé 14 jours plus tard. Si le nombre de parasites a diminué de plus de 90%, c’est qu’il n’est pas résistant au vermifuge. Dans le cas contraire, on peut établir une baisse d’efficacité du traitement ou une résistance suivant la diminution observée.

Comment vermifuger ?

Vermifugation cheval

Il est recommandé de vermifuger 4 fois par an un cheval vivant au pré ou sortant régulièrement en paddock. Cette fréquence est abaissée à 3 fois par an si l’équidé vit au box sans sortir au pré ou au paddock, donc sans manger d’herbe, principal vecteur de contamination. Dans certains cas, si les conditions sont très favorables aux parasites (chaleur, humidité, surpâturage…), les vétérinaires peuvent recommander de traiter jusqu’à 5 ou 6 fois dans l’année.

Quelques équidés ont un programme de vermifugation adapté :
– les poulinières, traitées au moment de la saillie puis tous les deux mois, jusqu’à huit mois de gestation et finalement au moment des chaleurs de lait (huit jours après le poulinage)
– les poulains sont vermifugés à trois mois si la jument a été traitée comme dit précédemment ou avant 3 à 6 semaines dans le cas contraire.
– les étalons sont vermifugés quatre fois par an, mais il faut faire attention à certains traitements qui peuvent diminuer l’activité sexuelle.
– les chevaux de course, vermifugés tous les deux mois même s’ils vivent au box, car ils sont souvent en déplacement et en contact avec de nombreux chevaux et donc plus exposés aux parasites.

Certains chevaux sont réticents à avaler le vermifuge. Vous pouvez dissimuler la pâte dans une carotte, une pomme vidée ou même de la compote de pommes afin qu’il soit plus facilement avalé. Pour les équidés vraiment réticents, il existe des traitements avec un bon goût : le Panacur est par exemple à la pomme-cannelle. Les vermifuges liquides peuvent être mis sur les granulés uniquement si vous êtes sûr que votre cheval termine bien toute sa ration afin de ne pas avoir de sous-dosage.

De nombreux paramètres sont à prendre en compte avant de vermifuger : la période de l’année (le cycle de vie des parasites dépend du climat), l’environnement, l’âge du cheval, le nombre de chevaux réunis, les parasites présents, la gestion des pâtures, le nombre de chevaux par pré, la fréquence d’introduction d’autres équidés, la démarche de ramassage de crottins ou non… C’est pour cette raison qu’il est important de demander conseil à un vétérinaire pour la prescription et pour faire attention aux résistances. De plus en plus de vétérinaires proposent un « audit parasitologique » afin de prendre en compte ces éléments pour proposer un programme de vermifugation adapté.

Il est aussi important que le vermifuge devienne une démarche de gestion du groupe de chevaux et pas uniquement un choix individuel pour chaque équidé. De la même façon qu’il est déconseillé de ne vermifuger qu’un cheval, la solution n’est pas forcément de traiter tous les chevaux du troupeau en même temps.

Afin d’établir le nombre d’équidés à traiter, il est intéressant de faire une analyse de coproscopie. Il s’agit d’un prélèvement de crottins, analysés pour compter le nombre d’œufs de parasites par gramme de crottin (OPG). Il y a ensuite des seuils établis pour savoir la proportion de chevaux à vermifuger : aucun si l’OPG < 200 ; 20% du troupeau si l’OPG est compris entre 200 et 400 ; 40% du troupeau si l’OPG est compris entre 400 et 600 ; 50 à 60% du troupeau si l’OPG est compris entre 600 et 1000 ; tout le troupeau si l’OPG > 1000.

En plus de savoir la proportion d’équidés à vermifuger, il est important de cibler les chevaux. Les jeunes (1 à 2 ans) et ceux en moins bon état général sont plus sensibles aux infestations, c’est pourquoi ils sont souvent ciblés.

Assainissement des lieux de vie après la vermifugation

Vermifugation cheval vers dans le crottin

Même si certains chevaux peuvent être gravement infestés, 90% des parasites vivent dans les lieux de vie (pré, box), c’est pourquoi il est important de faire attention à l’environnement du cheval pour éviter d’être à nouveau contaminé.
Si le cheval est au box, les bonnes pratiques pour éviter la propagation des parasites sont de ramasser les crottins quotidiennement, de curer les boxes au moins hebdomadairement et de nettoyer la mangeoire régulièrement. Le fumier récupéré en faisant les boxes ne doit pas être déversé tel quel dans les pâtures comme engrais si des chevaux y vivent, il doit être composté ou stocké au moins 2 ans pour éliminer les parasites.

Au paddock ou au pré, il faut éviter le surpâturage (concentration de trop d’équidés sur un terrain) afin que les chevaux ne soient pas contraints de brouter près des zones de crottin concentrant beaucoup de parasites. Il peut être intéressant de faire une rotation des pâtures mais, pour être vraiment efficace, il faudrait en changer toutes les trois semaines et ne pas y revenir avant un an, ce qui est difficilement faisable. Pour éviter ces contraintes, il est possible de mettre des bovins ou des ovins au cours de la rotation : ils mangeront les parasites, mais comme dans la majorité des cas ils ne sont pas leurs hôtes, les parasites ne pourront se développer et mourront. Il est aussi possible de traiter le pré à la chaux ou de broyer la végétation. Cette dernière technique n’est cependant efficace que par temps chaud et sec, afin d’exposer les parasites qui mourront.

Finalement, une vague de froid peut être votre meilleure alliée contre les parasites ! En effet, si elle est assez longue et intense, elle peut tuer les parasites présents dans les prés. Avec des conditions favorables, de nombreux œufs peuvent résister jusqu’à près d’un an et certains peuvent même survivre 10 ans.

Risques liés à la vermifugation

Vers vermifugation cheval parasite

Finalement, la vermifugation semble avoir de nombreux avantages, mais peut présenter certains risques…
Il y a une faible probabilité d’overdose. Le seul risque viendrait du dosage des seringues de vermifuges en pâte, qui le sont pour des chevaux de 600 kg. Il faut donc bien calculer la quantité à administrer aux poneys ou aux petits chevaux, mais les graduations facilitent ce travail.

Le risque de sous-dosage est plus important, en particulier si le cheval recrache en partie le traitement. En effet, il ne recevrait pas une dose assez importante pour tuer les parasites, mais cela contribuerait à sélectionner les parasites résistants, rendant les futurs traitements plus difficiles. Pour éviter ce problème, il faut essayer de vermifuger le matin, à jeun : l’équidé a alors la bouche vide et a moins tendance à cracher.

Le dernier risque concerne les chevaux dont l’état de santé est le moins bon, s’ils ne reçoivent pas une vermifugation adaptée. En effet, le traitement tue les parasites, qui libèrent alors des toxines. Cela peut provoquer un choc pouvant aller jusqu’à l’intoxication. Le cheval présentera des symptômes d’abattement, de diarrhée, de colique voire d’empoisonnement pouvant causer la mort. Il faut donc bien prendre l’avis du vétérinaire pour avoir un traitement adapté et parfois administrer la dose sur deux jours.
Comme tout médicament, les vermifuges peuvent aussi causer quelques effets secondaires, souvent mineurs. Il est conseillé de traiter les équidés le matin afin de pouvoir les surveiller au cours de la journée et intervenir en cas de problème, mais les complications sont rares.

Vous l’aurez compris, la vermifugation est essentielle pour la santé d’un cheval, mais aussi de tous ceux qui vivent près de lui ! Elle permet de lutter contre des parasites qui peuvent avoir des conséquences graves sur les équidés. Cependant, ils sont à utiliser avec précaution et de façon raisonnée pour éviter les phénomènes de résistance ou de traitement inefficace. Que pensez-vous de la vermifugation ? Que pouvons-nous faire pour éviter la propagation des parasites résistants ? Si vous avez des chevaux, quelles pratiques de vermifugation avez-vous adopté ? N’hésitez pas à partager votre avis et votre expérience dans les commentaires !

Ursuline

Sources texte :

 – Vermifugation : révisons nos classiques – Cheval Pratique n°156 (mars 2003)

 – La guerre des vers – Cheval Magazine n°382 (septembre 2003)

 – Vermifugation : changez vos vieilles habitudes – Cheval Magazine n°485 (avril 2012)

 – haras-nationaux.fr

 – le-cheval-une-passion.webnode.fr

Sources images :

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3 réflexions sur “Vermifugation des chevaux”

  1. Ça doit être assez impressionnant de voir des vers se balader dans le crottin ou d’en voir sur l’encolure… Si jamais j’ai un cheval un jour, je saurais quoi faire grâce à cet article !

     
  2. Beaucoup de personnes négligent le vermifuge cependant c’est important de le faire, en lisant cet article cela permet de comprendre comment et pourquoi vermifuger son cheval

     

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